Rechercher dans tous les témoignages
200 témoignages en ligne
9 résultats
- Histoires d'Objets | Collège B.Vian, Paris, 4èmes-1Vidéo
- Correspondances ❘ Amel à Cettina ❘ 14/39Vidéo
- Au Coeur du Pays HautVidéo
- Après qu'elle m'a dit qu'elle avait aimé L. comme son premier amour, qu'elle avait été tout du long malheureuse d'amour, et que tout était génial avec moi, et que si je ne comprenais pas ça, il ne fallait plus que je la touche. Je commençais à mettre mes chaussettes. J'avais déjà remis mon pull dans la pénombre, alors qu'elle s'est relevée pour fumer une cigarette à la fenêtre. Mais lorsqu'elle m'a vu faire cela, et continuer, bien qu'elle m'a dit que ce n'était pas la peine de la revoir, je l'ai vu sortir plusieurs boîtes de cachets, je croyais qu'elle avait une migraine. Mais lorsque j'ai vu la dizaine de pilules dans sa main, j'ai compris. Elle a commencé à prendre de l'eau, et à faire mine de les avaler. J'avais remarqué qu'elles étaient dans sa main, mais j'ai fait comme si je n'avais rien vu, de peur de la voir le faire pour de vrai, histoire de me prouver qu'elle en était capable. Plusieurs boîtes de cachetsTexte
- Elle a fini par mettre ses affaires dans un sac et à faire mine de partir. Elle m’a dit : dans 45 ans tu n'entendras plus parler de moi. Elle m'a tendu un carnet et m'a dit tiens tu liras ça. Je l'ai retenue et elle est restée. Elle a fait à manger. Nous avons attendu sa mère au salon. Je lui ai demandé d'éteindre la lumière, et j'en ai profité pour pleurer. Elle ne s'en est pas rendue compte. Et puis sa mère est arrivée.Je l'ai retenue et elle est restéeTexte
- Correspondances ❘ Mia à Bernard ❘ 09/39Vidéo
- Correspondances ❘ Bernard à l'adolescent qu'il était ❘ 08/39Vidéo
- Salut, Ça va comme tu veux ? Ici, la mer est plutôt calme, quelques fois un peu agitée (comme hier), mais chaude ! Un régal ! La vie, ici, c'est très cool. Je ne sais même plus quel jour on est. Tant mieux. J'ai le cerveau vide ! Vide ! Plus de stress. Et mes cahiers de vacances doivent moisir au fond d'un placard. Heureusement qu'il faut que je me tape tous les deux jours le kilomètre aller retour avec 9 litres d'eau minérale sur les épaules ! Ça me rappelle mon bon vieux cartable que je traînais encore au collège jusqu'au mois de juin, avec une ténacité remarquable, ne voulant pas m'en séparer. Et puis voilà, ça y est, je dévie sur le collège. C'est plus fort que moi, hein ! Et je me souviens. Je me souviens de tous ces moments, bon ou mauvais, parfois bénis, de nos « années collège ».Tous mes souvenirs s'entrechoquent, se cognent et me blessent parfois. Je vais tous vous regretter. Tous ! Toi aussi, tu sais ce que c'est. Nous, on appartient à la bande des exilés. Enfin, on se reverra, j'espère. Je penserai à toi, et à tous les autres aussi. Et… Tu ne m'oublieras pas, un ? Allez, salut !Je dévie sur le collègeTexte
- Correspondances ❘ Cettina à Amel ❘ 15/39Vidéo