Rechercher dans tous les témoignages
253 témoignages en ligne
23 résultats
- Gros coup de blues. Envie de rien. Envie de pleurer. Me trouve nul. Ne sais pas quoi faire, ni comment. Ai envie de parler à quelqu’un. Ne sais pas à qui. Sais que je ne le ferai pas, de toute façon. Vais pas déranger quelqu’un pour ça. Gros coup de blues(0)Texte
- Maman doit se faire opérer parce qu'elle a une boulette dans le sein droit qu'elle doit se faire enlever. C'est cool. Avant qu'elle aille à l'hopital, on ira à Walibi. J'espère que ça va bien se passer pour maman. J'aime trop ma mère pour qu'elle meurt. (cancer,chimiothérapie)Je suis beaucoup trop jeune pour ça(0)Multimédia
- Elle me dit tu dis pas que je suis conne ! Elle me tire les cheveux super fort ! J'arrivais plus à bouger. Et elle me met par terre toujours en criant la même chose. Et là elle me prend par les cheveux elle me met un gros coup de genou dans le nez. Je suis partie en courant et seulement quand elle me voyait plus j'ai pleuré. C'est vraiment choquant et ça restera dans ma vie toute ma vie dans ma tête. J'arrivais plus à bouger(0)Texte
- A. a trop cru que j'avais dégueulé sur elle. Sur le coup ça m'a rien fait. Et puis le dimanche, j'ai presque passé toute ma journée sur Facebook et sur le mur de A., elle parlait presque que de moi, du style qu'elle vivait trop mal, qu'elle était dégoûtée de moi, que je lui avais fait trop de mal après tout ce qu'elle avait fait pour moi. Je suis désolée, une meilleure amie, ça ne dit pas ça à sa meilleure amie. C'est là que je me suis rendu compte que je lui avais fait trop de mal après tout ce qu'elle avait fait pour moi ! Pour moi, elle a beaucoup changé, elle a fait plein d'efforts, elle est devenue ce que je voulais qu'elle soit. J'ai tout fait à l'envers.J'ai tout fait à l'envers(0)Texte
- Ce soir j'ai pleuré parce que ma mère voulait qu'on aille visiter le collège Saint-Dominique. Un collège de merde. Donc on est allé à Saint-Dominique et pour faire chier ma mère et la directrice je me suis trop mal tenue. En attendant qu'elle arrive je me suis affalée sur un banc, et je lui ai lancé un regard noir quand elle est arrivée. Après j'ai marché et j'ai trop parlé comme une racaille, et quand on est arrivées dans son bureau elle m'a posé des questions, je répondais à peine, Mais bon je me suis mise à pleurer parce que je voulais pas y aller. Du coup je suis trop dégoûtée, j'étais déprimée à mort, mais d'un autre côté, c'est vrai que j'avais fait n'importe quoi cette année, je suis devenu n'importe quoi. Je me suis dit que c'était quand même une chance de venir là-bas parce que je redeviendrais bien. Mais au fond, j'ai pas envie d'y aller. Enfin je sais pas je sais plus où j'en suis, je sais plus quoi penser.Je suis devenue n'importe quoi(0)Texte
- Entre #6 : Comment s'installe la violence(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à Claire et Leila ❘ 38/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Asdine à Bernard ❘ 12/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Maylis à Jackie ❘ 19/39(0)Vidéo
- Il continue. Il décrit l’impossibilité de parler avec sa propre famille à cause de sa transformation et de son éloignement. Il raconte comment à vingt ans il est parti à Paris, la capitale, la grande ville où tout semblait possible, pour étudier la philosophie, et pour vivre plus librement qu’à Reims, sa ville natale. Il dit qu’à Paris il a commencé à écrire des livres, à s’inventer comme un intellectuel. Mon cœur se réveillait dans ma poitrine. Tout changeait autour de moi. Maintenant je comprenais ce que j’avais ressenti dès ses premières phrases : Pourquoi est-ce que je n’avais jamais fait comme lui ? Pourquoi est-ce que je n’étais pas comme lui ? Pourquoi est-ce que moi je n’étais jamais parti à Paris – comme lui ? Pourquoi est-ce que j’avais limité à ce point mon arrachement au passé ? Ses paroles propulsaient mon corps loin de la salle où j’étais assis et tout à coup j’étais loin des autres, loin d’Elena aussi, pour la première fois j’étais loin d’elle. Je l’écoutais, il parlait, je l’écoutais et je pensais soudain, je voudrais être comme lui, je voudrais être lui – pourquoi est-ce que je n’avais pas fui aussi loin ? Je ne savais plus ce que je ressentais, je l’enviais, il me fascinait et la seconde d’après mes sentiments se muaient en un mélange de jalousie et de colère, pourquoi est-ce qu’il a réussi alors que moi je suis là, bloqué dans cette petite ville de province, et que je n’ai presque jamais rien lu, que je n’ai rien écrit à part quelques scènes de théâtre minables sans aucune valeur plagiées sur ce qu’Elena écrit, pourquoi lui et pas moi – je voulais ne plus l’écouter, je voulais qu’il se taise, faites-le taire, pitié – je lui en voulais d’avoir ce que je n’avais pas, et puis mes émotions s’inversaient encore, elles s’inversaient et je pensais que je n’avais jamais admiré quelqu’un avec autant de force ; je me suis tourné vers Elena et j’ai vu son corps s’éloigner de moi. Je ne pouvais plus la toucher, je voulais l’appeler mais elle n’entendait pas. Quand le philosophe a terminé sa conférence – il s’appelait Didier Eribon, je ne le savais pas encoreJe voulais être comme lui(0)Texte
- Il était une fois dans l'Est ❘ Dure à Cuire ❘ 26/30(0)Audio
- Entre #18 : Une chanson(0)Vidéo
- Entre #1 : Comment savoir si vous avez quitté l'enfance(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Piste Noire ❘ 24/30(0)Audio
- Correspondances ❘ Claire et Leila à Nathalie ❘ 37/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à Sam ❘ 26/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Sam, Garance et Samantha à Sylvie ❘ 27/39(0)Vidéo
- Le Stade des Préados ❘ Le Monde du Futur ❘ 5/5(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Le Stade ❘ 20/30(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ Audrey's Garage ❘ 23/30(0)Audio