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- Il était une fois dans l'Est ❘ l'Étang du Gué ❘ 15/30(0)Audio
- Un jour on crève(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ Piste Noire ❘ 24/30(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ l'Internat ❘ 28/30(0)Audio
- Un nouveau langage(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ Chez Barbieri ❘ 17/30(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ Licencié ❘ 10/30(0)Audio
- Entre #19: L'une revient, l'autre s'en va(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Inauguration ❘ 31/31(0)Vidéo
- Entre #10 : Un chagrin d'amour(0)Vidéo
- Entre #13 : Un monde sucré(0)Vidéo
- Le Monde à l'Intérieur ❘ à qui le raconter d'autre qu'à un journal ? ❘ 15/19(0)Audio
- Nous nous aimons éternellement et nous serons libres éternellement. Ceci est un rêve. Ressemble à un rêve. Et pourtant est réalité. Ceci ne se reproduira plus. Communion de Rêve. Et gestes très purs. Dernier baiser d’adolescence. Ou d’enfance. Ceci est un rêve(0)Texte
- J'étais un enfant heureux(0)Image
- Depuis que je suis au collège je fais une sorte de déprime. C'est comme si tout ce qui se passe n'était qu'un rêve. C'est comme si tout autour de moi ce n'était que le second plan. Comme si j'étais seule au monde. J'ai tout le temps envie de pleurer. Peut-être à cause de l'école primaire qui me manque. Je suis vraiment grave ! Je n'arrive pas à m'habituer au collège. Je ne sais pas sous quel angle le voir… Et je trouve que le temps passe extrêmement vite. J'arrive pas à me rendre compte qu'on est déjà à la fin de l'année. Je n'arrive pas à penser au passé ou au futur. Tout s'embrouille dans ma tête. Au début je pensais que c'était normal à mon âge (zéro crise d'adolescence) et aussi, j'ai l'impression d'être gogole : je ne comprends rien à la vie, à ce que les gens disent. Et je pensais que de nombreuses personnes sont comme moi mais personne ne me comprend. Il y a même eu des périodes où je voulais aller voir un psy. Le fait que j'aille déjà en cinquième me fait peur. Et je suis même pas à l'aise dans mon collège. J'ai besoin de me confier mais, à qui ? J'éprouve une sorte de grand vide en moi-même. C'est comme si j'attendais que quelque chose se passe mais rien. Rien que ce vide insupportable. Tout s'embrouille dans ma tête et je ne sais pas jusqu'à quand je vais supporter ce vide. J'éprouve un sentiment de confusion lourd et insupportable. Je ne sais plus quoi faire ni penser. Mais vraiment il y a des fois où je crois rêver. Plus rien est n’est impossible à présent. Je ne sais vraiment pas ce qui m'arrive et j'espère que je vais vite remonter de ce grand trou infini… J'ai l'impression d'être tellement différente par rapport aux autres gens… Il faut vraiment qu'on me tende une échelle pour que je remonte ce foutu trou qui me donne le moral à zéro, je ne sais pas pourquoi... Le collège c'est vraiment comme un vide. J'arrive pas à m'y faire. Une sorte de grand vide(0)Texte
- Que de temps s'est passé depuis la dernière fois où j'ai écrit dans ce carnet secret. J'ai maintenant 16 ans ! La vie va comme elle va. Mais je ressens par moment une certaine mélancolie inexplicable, peut-être est-ce dû au deuxième mouvement du quintette pour clarinette de Mozart que je suis en train d'écouter. Une certaine mélancolie(0)Texte
- Je suis un garçon à l'étroit dans un corps qui n'est pas le mien, un corps de fille que tout le monde voit, que tu vois. Mais ce n'est pas celui que je vois, moi. Ce n'est pas celui que je suis. C'est quelque chose qui est assez dur à expliquer avec des mots. Je ne te demande pas de comprendre, juste de m'accepter. À l'étroit dans un corps(0)Texte
- Aucun dessin pour décrire cette nuit. Juste une vague impression de flammes qui dansent. Danse sauvage et douce. Si enivrante accompagnée d'un bruit de pluie en fond. Une tente, la pluie, des bisous posés tant qu'ils peuvent l’etre, odeur perdue de clopes et de sueur. Les paroles dites, répétées à peine écoutées. Une idée en tête impossible. L'envie qui prend le dessus, le désir qui s'exprime tant qu'il le peut. Un amour fou mais si doux. Un amour fou mais si doux(0)Texte
- J’y pense très souvent. Tous les jours. Ça me manque réellement, de ne pas l’avoir vraiment connu. Les autres, ils ont quelqu’un à qui s’identifier : leur père est eux-mêmes en plus vieux, ou bien « un modèle à ne pas imiter ». Moi, je n’ai ni l’un, ni l’autre. Quelqu’un à qui s’identifier(0)Texte
- Chaque larme a une couleur(0)Image