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- Aucun dessin pour décrire cette nuit. Juste une vague impression de flammes qui dansent. Danse sauvage et douce. Si enivrante accompagnée d'un bruit de pluie en fond. Une tente, la pluie, des bisous posés tant qu'ils peuvent l’etre, odeur perdue de clopes et de sueur. Les paroles dites, répétées à peine écoutées. Une idée en tête impossible. L'envie qui prend le dessus, le désir qui s'exprime tant qu'il le peut. Un amour fou mais si doux. Un amour fou mais si doux(0)Texte
- Si je ne mate jamais les nanas, c’est parce que je suis encore jeune ; je suis certes un peu en retard, mais ça viendra quand ça viendra… Et si je mate les mecs sur la plage, c’est pour me comparer, pour m’identifier aux autres, moi qui traverse ces changements difficiles de l’adolescence … Si je ne mate jamais les nanas(0)Texte
- J’ai level Up, mais j’ai pas fini(0)Vidéo
- Pas une amie à qui parler. C'est terrible j'ai une envie folle de papoter et je ne peux que t'écrire à toi cher journal intime. La télé c'est lourd, ça ne fait que livrer des images. Une personne, c'est vivant ça fait des réflexions, ça vit quoi. Et puis il y a toi entre les deux : je peux tout te dire mais toi, tu ne me dis rien. Mais toi, tu ne me dis rien(0)Texte
- Un mec m'a m'invité à danser un slow. Il m'a foutu la main au cul tout le long. C'était le slow le plus court. Enfin on s'est rassises, et avec C, on a dit en coeur : c'est des cons. Le pire c'est qu'il est revenu. Alors je lui ai dis que je n'aimais pas les slows, «mais on s'en fout», «non on ne s'en fout pas. Et je crois que tu en a déjà assez profité». Ça l'a foutu en rogne et il s'est cassé en me disant « va te faire foutre ». Un connard quoi. (consentement) Il m'a foutu la main au cul(0)Texte
- J'ai du mal à l'admettre, mais demain bahut. Les boules. Je sens que je vais le croiser ! Je parle de V. Je l'aime pas, là. Pressé, nerveux, te fais sans arrêt chier, nous traite comme de la merde en classe. Avec sa face de con, il commence à emmerder tout le monde, en premier toutes les secondes (filles comprises). Puis les premières et terminales.Demain bahut : les boules(0)Texte
- Sur le chemin vers le théâtre, l’excitation monte, il se voit déjà avoir une nouvelle vie, ne plus fréquenter sa famille, rompre tous les liens avec eux et vivre dans une minuscule chambre sous les toits avec Elena. Il imagine une vie d’artiste partagée avec elle, les pièces de théâtre et les concerts de musique classique qu’il pourra voir gratuitement grâce à son travail, il s’imagine s’endormir dans sa minuscule chambre, sans famille, sans autre famille qu’Elena, et sans s’en rendre compte, il sourit. Il pense : Je donnerai tout pour avoir ce travail-là, je donnerai tout pour l’avoir. Il voudrait hurler Oui, pitié, je vous en prie, acceptez-moi, je ne suis pas comme les autres, il voudrait lui dire qu’elle est son seul espoir, que peut-être si elle ne l’accepte pas ce refus sera le point de départ de sa chute et que tout ce qu’il a fait jusque-là n’aura servi à rien, (...) que sans ce travail il devra devenir serveur dans un bar et que la pénibilité et la difficulté de ce travail lui causeront trop de fatigue et qu’à cause de la fatigue il ne réussira pas ces études et que sans diplôme il devra retourner dans le village et se faire embaucher à l’usine comme la plupart des hommes, ou essayer de survivre de petits boulots puisque l’usine est presque fermée, ou travailler aux caisses du supermarché comme sa cousine.Avoir une nouvelle vie(0)Texte
- Les beaux-endroits c’est pour ailleurs(0)Texte
- Je suis là, dans mon lit à écouter la musique de Titanic. Je pense. Je me souviens. Dans les champs avec lui, dans le lac avec elle, et moi qui me prenait pour Brigitte Bardot, dans le camping, les lavabos et les crapauds. Le bar et le pont (pour se suicider). La fête est ma première vraie nuit blanche, le champ de maïs, la nuit, le petit chemin, la soupe à 7h du matin. Les nuits à la belle étoile. Les nuits à la belle étoile(0)Texte
- Il était une fois dans l'Est ❘ Mon Papa Syndicaliste ❘ 14/30(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ Entre Deux Villages ❘ 6/30(0)Audio
- Correspondances ❘ Célestine, Bachir et Noah à Michelle ❘ 07/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Noah à Michelle ❘ 02/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Maylis à Jackie ❘ 19/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Bernard à l'adolescent qu'il était ❘ 08/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à son amour d'adolescente ❘ 32/39(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Licencié ❘ 10/30(0)Audio
- Le grand-père de S. nous attendait à l'aéroport John Fitzgerald Kennedy. En sortant, j'ai été tout de suite dépaysée par les voitures qui sont énormes, vitres teintées, limousines, taxis jaunes. Pour aller à la maison, dans le New Jersey on est passé par Manhattan, enfin un bout, j'ai vu l'empire State building et d'autres immeubles. Comme dans les films. Sauf, que j'ai quand même été surprise car on était dans un quartier pas « très beau », assez délabré, vieux, sinistre, déprimant. Pour l'instant, c'est ma seule image de New York, mais je pense que quand on ira au centre, ce sera mieux. Enfin j'espère. Il y a plein de terrains de basket… Partout. C'est génial. Et au bout de bien deux heures de route on est arrivés à la maison. Maison typique américaine. J'ai vu tout le monde : sa grand-mère, sa tante, son oncle, et son cousin. Ils ne parlent que russe et boivent du Coca-Cola à table ! Mais bon je m'habituerai. De toute manière il fallait s'y attendre. Mais je suis un peu perdue et je suis vraiment de trop. S. me fait croire que non mais bon. J'ai l'impression de lui gâcher ses vacances. Et puis je ne veux pas prendre de place dans sa vie. Sinon, entre nous, ça va bien pour le moment. Même si je suis chiante, il ne dit rien. Sûrement fait-il des efforts, qui sait ?À l'aéroport John Fitzgerald Kennedy(0)Texte
- Après qu'elle m'a dit qu'elle avait aimé L. comme son premier amour, qu'elle avait été tout du long malheureuse d'amour, et que tout était génial avec moi, et que si je ne comprenais pas ça, il ne fallait plus que je la touche. Je commençais à mettre mes chaussettes. J'avais déjà remis mon pull dans la pénombre, alors qu'elle s'est relevée pour fumer une cigarette à la fenêtre. Mais lorsqu'elle m'a vu faire cela, et continuer, bien qu'elle m'a dit que ce n'était pas la peine de la revoir, je l'ai vu sortir plusieurs boîtes de cachets, je croyais qu'elle avait une migraine. Mais lorsque j'ai vu la dizaine de pilules dans sa main, j'ai compris. Elle a commencé à prendre de l'eau, et à faire mine de les avaler. J'avais remarqué qu'elles étaient dans sa main, mais j'ai fait comme si je n'avais rien vu, de peur de la voir le faire pour de vrai, histoire de me prouver qu'elle en était capable. Plusieurs boîtes de cachets(0)Texte
- L. m’a un peu fait découvrir la femme, en me faisant prendre ses seins dans mes mains. J’avais découvert ça avec innocence, avec perversion. Ou les deux en même temps ? Je les avais caressés, pressés, nus.Avec innocence, avec perversion(0)Texte