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- Entre #15 : Les privilègesVidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ La Piste Noire ❘ 24/30Audio
- A. a trop cru que j'avais dégueulé sur elle. Sur le coup ça m'a rien fait. Et puis le dimanche, j'ai presque passé toute ma journée sur Facebook et sur le mur de A., elle parlait presque que de moi, du style qu'elle vivait trop mal, qu'elle était dégoûtée de moi, que je lui avais fait trop de mal après tout ce qu'elle avait fait pour moi. Je suis désolée, une meilleure amie, ça ne dit pas ça à sa meilleure amie. C'est là que je me suis rendu compte que je lui avais fait trop de mal après tout ce qu'elle avait fait pour moi ! Pour moi, elle a beaucoup changé, elle a fait plein d'efforts, elle est devenue ce que je voulais qu'elle soit. J'ai tout fait à l'envers.J'ai tout fait à l'enversTexte
- Ce soir j'ai pleuré parce que ma mère voulait qu'on aille visiter le collège Saint-Dominique. Un collège de merde. Donc on est allé à Saint-Dominique et pour faire chier ma mère et la directrice je me suis trop mal tenue. En attendant qu'elle arrive je me suis affalée sur un banc, et je lui ai lancé un regard noir quand elle est arrivée. Après j'ai marché et j'ai trop parlé comme une racaille, et quand on est arrivées dans son bureau elle m'a posé des questions, je répondais à peine, Mais bon je me suis mise à pleurer parce que je voulais pas y aller. Du coup je suis trop dégoûtée, j'étais déprimée à mort, mais d'un autre côté, c'est vrai que j'avais fait n'importe quoi cette année, je suis devenu n'importe quoi. Je me suis dit que c'était quand même une chance de venir là-bas parce que je redeviendrais bien. Mais au fond, j'ai pas envie d'y aller. Enfin je sais pas je sais plus où j'en suis, je sais plus quoi penser.Je suis devenue n'importe quoiTexte
- Je me rends compte en me déshabillant que de petites traces rouges ornent ma culotte ! Je vais voir maman à qui je dis "je crois bien que j'ai mes règles". Donc serviette nana goodnight pour la nuit. Tu te rends compte, je suis réglée à 14 presque et demi. Enfin maintenant c'est fait. Le matin je me lève et aux toilettes serviette pleine. La tête a commencé à tourner, j'ai plus rien vu, je suis sortie des chiottes. J'ai couru à traver la cuisine jusqu'au lave vaisselle. Je rentre dedans et je m'écroule par terre la tête sur le carrelage. (sang,règles,menstruations,puberté)De petites traces rougesTexte
- Un jour passé sans sa voix. Je deviens de plus en plus fou. Hier, j'ai pleuré comme jamais j'ai pleuré de toute ma vie. Ce matin, rebelote, en cours, puis à 10h, comme une vraie gonzesse. Enfin, ça va passer. Ce que je ne comprend pas c'est comment ça a pu passer du plus haut des sentiments au vide total de sa part. (rupture)Un jour passé sans sa voixTexte
- 14 ans en Barétous 6 ❘ ValentineVidéo
- Les beaux-endroits c’est pour ailleursTexte
- Des pas de plus vers le futurTexte
- Chez toi, c’est l’endroit où j’ai découvert qu’il y avait des fenêtres de sociabilité. Là où j’ai découvert ma propre joie. Que ma parole avait du sens. Là où les mots me sont venus. Un lieu d’autonomie. Où j’ai pu prendre le risque de rater, la crainte du reproche en moins. Chez toi j’ai découvert des chemins dans lesquelles je pouvais avoir de l’amour pour des mondes qui m’intimidaient. Un lieu en moi. Je vais chez toi en secret, je n’y vais pas forcément avec mon corps, mais par la présence d’un objet, ou d’un vêtement, ou d’un souvenir. Je n’aimerais pas que tu deviennes une simple salle vide, sans couleurs. Une salle vide c’est un simple plafond, des fenêtres, un sol qui attend d’être rempli. Une page blanche sans crayons, sans couleurs, sans intentions. Prendre le risque de raterTexte
- Correspondances ❘ Amel à Cettina ❘ 14/39Vidéo
- Sur le chemin vers le théâtre, l’excitation monte, il se voit déjà avoir une nouvelle vie, ne plus fréquenter sa famille, rompre tous les liens avec eux et vivre dans une minuscule chambre sous les toits avec Elena. Il imagine une vie d’artiste partagée avec elle, les pièces de théâtre et les concerts de musique classique qu’il pourra voir gratuitement grâce à son travail, il s’imagine s’endormir dans sa minuscule chambre, sans famille, sans autre famille qu’Elena, et sans s’en rendre compte, il sourit. Il pense : Je donnerai tout pour avoir ce travail-là, je donnerai tout pour l’avoir. Il voudrait hurler Oui, pitié, je vous en prie, acceptez-moi, je ne suis pas comme les autres, il voudrait lui dire qu’elle est son seul espoir, que peut-être si elle ne l’accepte pas ce refus sera le point de départ de sa chute et que tout ce qu’il a fait jusque-là n’aura servi à rien, (...) que sans ce travail il devra devenir serveur dans un bar et que la pénibilité et la difficulté de ce travail lui causeront trop de fatigue et qu’à cause de la fatigue il ne réussira pas ces études et que sans diplôme il devra retourner dans le village et se faire embaucher à l’usine comme la plupart des hommes, ou essayer de survivre de petits boulots puisque l’usine est presque fermée, ou travailler aux caisses du supermarché comme sa cousine.Avoir une nouvelle vieTexte
- Mon père a appelé le bahut et il a appris qu'on avait quitté à 13h et donc que j'avais menti. Il m'a défoncée ! V'là le cable qu'il a pété ! Comme quoi j'étais une imbécile, que j'avais pas l'âge de faire ce que je veux, que je le fais chier depuis le mois de septembre, que j'avais fait chier tout le monde. Et puis il m'a même demandé de décrocher tous les sacs et les marques accrochés sur mon mur. Il m'a privé de sortie, d'ordi, de téléphone, de maquillage, de vernis, de voir A., qu'elle vienne chez moi, que j'aille chez elle… J'étais tellement énervée que j'ai balancé le couvercle d'une caisse sur le mur tout neuf, je l'ai pété et j'ai fait un trou dans le mur. J'ai pleuré pendant au moins une heure. Et voilà les baffes que mon daron m'a foutu. Juste pour ça !Juste pour çaTexte
- Elle m'a dit que c'était fini, je l'ai retenue, et puis elle m'a dit : « je ne veux plus t'aimer, je ne veux plus t'embrasser, je ne veux plus coucher avec toi....Je ne veux plus te voir". Je lui ai dit : « tu as gagné » en la lâchant ! Elle m'avait fait trop mal au cœur. Je lui ai tendu sa broche en lui disant de la récupérer. C'est alors qu'elle m'a dit qu'elle n'en aurait plus besoin. J'ai eu peur. Je l'ai retenue à nouveau. Et à partir de ce moment-là je n'ai pas cessé de pleurer pendant une demi-heure. Je me suis laissé aller à mes sentiments. J'étais déçu de n'avoir pu être à la hauteur de ses rêves. Je ne veux plus t'aimerTexte
- Le grand-père de S. nous attendait à l'aéroport John Fitzgerald Kennedy. En sortant, j'ai été tout de suite dépaysée par les voitures qui sont énormes, vitres teintées, limousines, taxis jaunes. Pour aller à la maison, dans le New Jersey on est passé par Manhattan, enfin un bout, j'ai vu l'empire State building et d'autres immeubles. Comme dans les films. Sauf, que j'ai quand même été surprise car on était dans un quartier pas « très beau », assez délabré, vieux, sinistre, déprimant. Pour l'instant, c'est ma seule image de New York, mais je pense que quand on ira au centre, ce sera mieux. Enfin j'espère. Il y a plein de terrains de basket… Partout. C'est génial. Et au bout de bien deux heures de route on est arrivés à la maison. Maison typique américaine. J'ai vu tout le monde : sa grand-mère, sa tante, son oncle, et son cousin. Ils ne parlent que russe et boivent du Coca-Cola à table ! Mais bon je m'habituerai. De toute manière il fallait s'y attendre. Mais je suis un peu perdue et je suis vraiment de trop. S. me fait croire que non mais bon. J'ai l'impression de lui gâcher ses vacances. Et puis je ne veux pas prendre de place dans sa vie. Sinon, entre nous, ça va bien pour le moment. Même si je suis chiante, il ne dit rien. Sûrement fait-il des efforts, qui sait ?À l'aéroport John Fitzgerald KennedyTexte
- Cher Futur Moi — MarionVidéo
- 14 ans en Barétous 5 ❘ ClémentVidéo
- Correspondances ❘ Cettina à Amel ❘ 15/39Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à l'adolescente qu'elle était ❘ 21/39Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à son amour d'adolescente ❘ 24/39Vidéo