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253 témoignages en ligne
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- Il était une fois dans l'Est ❘ l'Internat ❘ 28/30(0)Audio
- Correspondances ❘ Michelle à Célestine et Bachir ❘ 06/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Célestine et Bachir à Michelle ❘ 05/39(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ L'Ancienne École ❘ 2/30(0)Audio
- "Nous" | par les 4eB et 3eR du Collège Anne Frank | Périgueux(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Le Stade ❘ 20/30(0)Audio
- Ce soir j'ai pleuré parce que ma mère voulait qu'on aille visiter le collège Saint-Dominique. Un collège de merde. Donc on est allé à Saint-Dominique et pour faire chier ma mère et la directrice je me suis trop mal tenue. En attendant qu'elle arrive je me suis affalée sur un banc, et je lui ai lancé un regard noir quand elle est arrivée. Après j'ai marché et j'ai trop parlé comme une racaille, et quand on est arrivées dans son bureau elle m'a posé des questions, je répondais à peine, Mais bon je me suis mise à pleurer parce que je voulais pas y aller. Du coup je suis trop dégoûtée, j'étais déprimée à mort, mais d'un autre côté, c'est vrai que j'avais fait n'importe quoi cette année, je suis devenu n'importe quoi. Je me suis dit que c'était quand même une chance de venir là-bas parce que je redeviendrais bien. Mais au fond, j'ai pas envie d'y aller. Enfin je sais pas je sais plus où j'en suis, je sais plus quoi penser.Je suis devenue n'importe quoi(0)Texte
- Correspondances ❘ Maylis à l'adolescente qu'elle était ❘ 17/39(0)Vidéo
- Il faut que j'arrête de t'aimer ou tu me tueras. Je ne veux pas te perdre. Raté. Il faut se battre pour ses sentiments. Ou pas. à paris, tu relookeras tous les tarés Tu metteras des petits hauts et tu raccourciras le bas et moi je devrais m'effacer, je ne serai plus là Je ne veux pas tout perdre Je vole ton journal en catimini Je sais. C'est de la merde. Je sais. C'est de la merde. Comme tout ce que tu as écrit. Je suis rentrée, j'ai bouffé trop de pizza, dans mon plumard, j'ai dégueulé. Je laisse tremper les draps, pendant que je me rince la bouche. A 4h30, j'ai regerbé l'eau que j'avais bu. Tu verras ma geule. La touche. J'ai une chiasse énorme qui me sors du cul. Reviens, j'ai besoin d'un calin. Tu dis qu'il t'a construite. Tu es son petit lapin. Et moi je t'ai détruite et tu t'en fous toi. Tu te sauves. Aujourd'hui t'es belle, t'es forte, tu crânes. Je vais le buter cet enculé de chauve. Lui faire une grosse entaille au cutter sur son crâne Et tous mes souvenirs de toi au fond. N'oublie pas ce que je t'ai dis. Tu peux crever. Déja moi je t'oublie. Tu peux crever(0)Audio
- Correspondances ❘ Garance et Samantha à Sylvie ❘ 22/39(0)Vidéo
- Le Stade des Préados ❘ Bernard ❘ 1/5(0)Vidéo
- Le grand-père de S. nous attendait à l'aéroport John Fitzgerald Kennedy. En sortant, j'ai été tout de suite dépaysée par les voitures qui sont énormes, vitres teintées, limousines, taxis jaunes. Pour aller à la maison, dans le New Jersey on est passé par Manhattan, enfin un bout, j'ai vu l'empire State building et d'autres immeubles. Comme dans les films. Sauf, que j'ai quand même été surprise car on était dans un quartier pas « très beau », assez délabré, vieux, sinistre, déprimant. Pour l'instant, c'est ma seule image de New York, mais je pense que quand on ira au centre, ce sera mieux. Enfin j'espère. Il y a plein de terrains de basket… Partout. C'est génial. Et au bout de bien deux heures de route on est arrivés à la maison. Maison typique américaine. J'ai vu tout le monde : sa grand-mère, sa tante, son oncle, et son cousin. Ils ne parlent que russe et boivent du Coca-Cola à table ! Mais bon je m'habituerai. De toute manière il fallait s'y attendre. Mais je suis un peu perdue et je suis vraiment de trop. S. me fait croire que non mais bon. J'ai l'impression de lui gâcher ses vacances. Et puis je ne veux pas prendre de place dans sa vie. Sinon, entre nous, ça va bien pour le moment. Même si je suis chiante, il ne dit rien. Sûrement fait-il des efforts, qui sait ?À l'aéroport John Fitzgerald Kennedy(0)Texte
- Imaginez. Vous êtes là. Assis sur votre chaise. Au milieu d'une rangée. Devant et derrière vous des autres rangées semblables. Peu importe. Imaginez. Que le prof se mette à chanter. À danser. Tout simplement. Il monte sur son bureau et fait son cours. Imaginez que les normes n'existent plus, donc cela ne choque pas. La normalité n'existe pas. Elle n'a jamais existé. Imaginez tout ce que l'on ferait si les normes n'étaient pas aussi restreintes. Imaginez. Vous êtes toujours dans votre rangée, sur votre chaise. Imaginez le nombre de personnes, d'élèves disciplinés qui se sont assis sur cette même chaise. Depuis des années et des années, presque tous les jours. Imaginez les heures passées, perdues, regarder par la petite fenêtre qui se trouve à votre gauche ou à votre droite, pour trouver un petit coin de ciel, pas souvent bleu. Un petit bout d'espoir. Penser aux heures perdues à écouter sans comprendre de quoi on vous parle. Le temps passé à se demander ce qu'on faisait là alors qu'on avait envie d'être ailleurs, avec d'autres personnes. Qui nous apprennent des choses beaucoup plus importantes. Toujours dans votre rangée(0)Texte
- Correspondances ❘ Sam, Garance et Samantha à Sylvie ❘ 27/39(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Un Terrier peu Commun ❘ 21/30(0)Audio
- Entre #2 : Comment survivre à la rentrée(0)Vidéo
- Entre #14: Préparer l'avenir(0)Vidéo
- Entre #11: le clash(0)Vidéo
- Entre #26 : La fin des cours(0)Vidéo
- Au Coeur du Pays Haut(0)Vidéo