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- Le Monde à l'Intérieur ❘ Prince de LU ❘ 08/19(0)Audio
- Prince de Lu(0)Audio
- Elle m'a dit qu'elle trouvait que faire l'amour avait pris trop d'importance pour nous. Cela m'a fait mal au cœur, parce que bien que je partage son idée, cela fait toujours mal de se faire dire les choses que l'on voudrait être le premier à prononcer. C'est un problème d'amour-propre. Un Problème d'amour-propre(0)Texte
- Je me sens «dans » la liberté(0)Texte
- J'ai du mal à l'admettre, mais demain bahut. Les boules. Je sens que je vais le croiser ! Je parle de V. Je l'aime pas, là. Pressé, nerveux, te fais sans arrêt chier, nous traite comme de la merde en classe. Avec sa face de con, il commence à emmerder tout le monde, en premier toutes les secondes (filles comprises). Puis les premières et terminales.Demain bahut : les boules(0)Texte
- Comment faut-il s'y prendre avec les hommes ? Faut-il faire comme si on s'en fichait et les ignorer ? Non, ça durerait des années. Faut-il est adorable avec eux ? Non, ça fait trop lèche cul et c'est pire s'il nous trouve laide. Faut-il faire le premier pas ? Comment faut-il réagir ? S'habiller ? Se comporter ? Rahhh ! Je ne sais pas comment faire ! Comment faut-il s'y prendre ?(0)Texte
- Après qu'elle m'a dit qu'elle avait aimé L. comme son premier amour, qu'elle avait été tout du long malheureuse d'amour, et que tout était génial avec moi, et que si je ne comprenais pas ça, il ne fallait plus que je la touche. Je commençais à mettre mes chaussettes. J'avais déjà remis mon pull dans la pénombre, alors qu'elle s'est relevée pour fumer une cigarette à la fenêtre. Mais lorsqu'elle m'a vu faire cela, et continuer, bien qu'elle m'a dit que ce n'était pas la peine de la revoir, je l'ai vu sortir plusieurs boîtes de cachets, je croyais qu'elle avait une migraine. Mais lorsque j'ai vu la dizaine de pilules dans sa main, j'ai compris. Elle a commencé à prendre de l'eau, et à faire mine de les avaler. J'avais remarqué qu'elles étaient dans sa main, mais j'ai fait comme si je n'avais rien vu, de peur de la voir le faire pour de vrai, histoire de me prouver qu'elle en était capable. Plusieurs boîtes de cachets(0)Texte
- 14 ans en Barétous 5 ❘ Clément(0)Vidéo
- 14 ans en Barétous 4 ❘ Chantal(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Michelle à son Amour d'Adolescente ❘ 01/39(0)Vidéo
- C'est mieux plus tard ?(0)Texte
- Merde alors. Je t'aimais. Je ne voulais pas que tu crois que je voulais juste faire des expériences avec toi. Quand on a 16 ans, tout ça impressionne, tout ça laisse des traces. C'est le premier printemps que l'on vit vraiment comme un printemps. Sa sensualité, et en même temps le dernier, en comparaison, tous les autres printemps seront plus pâles. Et si on est amoureux, là, il ne reste qu'à supporter, toute la joie, toute la beauté qu'il y a en toute chose. Le monde à l'extérieur, le monde à l'intérieur de moi. Cela se passa dans une soirée Là où ils se sont rencontrés Ils se sont regardés Ils se sont appréciés Lui, il est poilu Elle n'était pas toute nue Fumer des spliffs Lui il la kiff Ils sont tombés amoureux Ah c'est joyeux Je t'aimais Le monde à l'extérieur. Le monde à l'intérieur de moi. Le monde à l'extérieur(0)Audio
- Correspondances ❘ Sylvie à son amour d'adolescente ❘ 24/39(0)Vidéo
- Il continue. Il décrit l’impossibilité de parler avec sa propre famille à cause de sa transformation et de son éloignement. Il raconte comment à vingt ans il est parti à Paris, la capitale, la grande ville où tout semblait possible, pour étudier la philosophie, et pour vivre plus librement qu’à Reims, sa ville natale. Il dit qu’à Paris il a commencé à écrire des livres, à s’inventer comme un intellectuel. Mon cœur se réveillait dans ma poitrine. Tout changeait autour de moi. Maintenant je comprenais ce que j’avais ressenti dès ses premières phrases : Pourquoi est-ce que je n’avais jamais fait comme lui ? Pourquoi est-ce que je n’étais pas comme lui ? Pourquoi est-ce que moi je n’étais jamais parti à Paris – comme lui ? Pourquoi est-ce que j’avais limité à ce point mon arrachement au passé ? Ses paroles propulsaient mon corps loin de la salle où j’étais assis et tout à coup j’étais loin des autres, loin d’Elena aussi, pour la première fois j’étais loin d’elle. Je l’écoutais, il parlait, je l’écoutais et je pensais soudain, je voudrais être comme lui, je voudrais être lui – pourquoi est-ce que je n’avais pas fui aussi loin ? Je ne savais plus ce que je ressentais, je l’enviais, il me fascinait et la seconde d’après mes sentiments se muaient en un mélange de jalousie et de colère, pourquoi est-ce qu’il a réussi alors que moi je suis là, bloqué dans cette petite ville de province, et que je n’ai presque jamais rien lu, que je n’ai rien écrit à part quelques scènes de théâtre minables sans aucune valeur plagiées sur ce qu’Elena écrit, pourquoi lui et pas moi – je voulais ne plus l’écouter, je voulais qu’il se taise, faites-le taire, pitié – je lui en voulais d’avoir ce que je n’avais pas, et puis mes émotions s’inversaient encore, elles s’inversaient et je pensais que je n’avais jamais admiré quelqu’un avec autant de force ; je me suis tourné vers Elena et j’ai vu son corps s’éloigner de moi. Je ne pouvais plus la toucher, je voulais l’appeler mais elle n’entendait pas. Quand le philosophe a terminé sa conférence – il s’appelait Didier Eribon, je ne le savais pas encoreJe voulais être comme lui(0)Texte
- Correspondances ❘ Nathalie à son amour d'adolescente ❘ 32/39(0)Vidéo
- Au Coeur du Pays Haut(0)Vidéo
- Le Stade des Préados ❘ Charline ❘ 3/5(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Le Certificat d'Études ❘ 13/30(0)Audio
- Le Stade des Préados ❘ Cécile ❘ 2/5(0)Vidéo
- Entre #23 : Écrire(0)Vidéo