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- Il était une fois dans l'Est ❘ Piste Noire ❘ 24/30(0)Audio
- 14 ans en Barétous 7 ❘ Catherine(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Le Viaduc Eiffel ❘ 16/30(0)Audio
- 14 ans en Barétous 2 ❘ Léa(0)Vidéo
- 14 ans en Barétous 3 ❘ Michel(0)Vidéo
- Vacances : j'en ai marre d'être toute seule et d'attendre que quelque chose arrive dans ma vie. C'est lourd d'être passif ! J'ai aussi envie de me sentir jolie de temps en temps, envie de plaire, d'embrasser quelqu'un, de faire une rencontre à cette fichue Thalasso, de m'épiler les jambes parce que je me sens encore plus laide, même si j'ai pas le droit. C'est con la vie : des obligations, des privations, des trucs trop chers. Faut que je l'appelle : ça me bouffera toute ma carte téléphonique, j'aurai froid dans la cabine, tant pis, je m'en fous, tout ce que je veux, c'est lui parler. Bon, j'en ai fini avec mon mélo ! Attendre quelque chose(0)Texte
- Je voulais juste parler un peu de moi. Qui que soit celui qui lit ces lignes est le bienvenu. Si tu lis ces pages dans quelques jours, n'arrache pas les pages, et si tu lis dans quelques dix, vingt ans, essaye de ne pas arracher les pages restantes… Ce cahier n'est pas génial, mais je l'aime bien. J'espère qu'il aura contribué à te faire une image de moi… L'image de l'adolescent simple, un peu mal dans sa peau mais qui le cache, parce que pleurer sur sa personne, c'est ignorer un instant les autres, être un peu égoïste. Et même si cet égoïsme fait parfois du bien, sache que je le deviens plus souvent seul. Si ces pages se perdent un jour, tant pis, elles n'auront servi qu'à faire passer le temps au petit être que je suis, par contre si il se retrouve dans un grenier ou autre d'ici quelques temps, pleins de poussière, je désire qu'il soit respecté, et que l'on ne chie pas dessus si c'est possible, et si un jour quelqu'un cherche à le salir, d'une manière ou d'une autre, et bien sache que je te regarde en ce moment, de là ou je suis. Alors sois cool, repose-le, et laisse continuer et prendre la poussière. (carnet, journal intime)Si tu lis ces pages(0)Texte
- Entre #19: L'une revient, l'autre s'en va(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Entre Deux Villages ❘ 6/30(0)Audio
- Tu es là-bas, à l'horizon, tu m'attends tu me dis de te rejoindre. J'aimerai, je marcherai sans arrêter sans sentir les coraux sur mes pieds, le sel qui me pique, l'eau qui me colle. J'avancerai. Je ne sentirai pas mes yeux qui brûlent, mes poumons remplis d'eau, j'avancerai les pieds dans le sable. Je découvrirai ce monde sous-marin, les yeux toujours rivés sur toi. Je te rejoindrai.Tu es là bas, à l'horizon(0)Texte
- J’ai rencontré Pierre. Il est venu me voir dans l’appartement du boulevard Carnot et nous avons fait l’amour. Je me souviens de chaque détail, le soleil dehors, la fenêtre ouverte et le souffle tiède de l’air qui entrait dans l’appartement, son apparition quand il a garé sa voiture, le bruit sec et brutal de la portière. Quand il est entré dans l’appartement et que je l’ai embrassé je pensais, J’embrasse un homme, la phrase se répercutait pendant que mes lèvres touchaient les siennes. Chaque parcelle de lui était un synonyme du mot Liberté, Liberté conquise contre toi, contre toute ma vie, Liberté la barbe sur son visage, Liberté les muscles sous le tissu de son tee-shirt, Liberté la pilosité de ses bras, Liberté son sexe qui se tendait sous la toile de son jean, Liberté contre ce que le monde avait voulu de moi.Chaque parcelle de lui(0)Texte
- Sur le chemin vers le théâtre, l’excitation monte, il se voit déjà avoir une nouvelle vie, ne plus fréquenter sa famille, rompre tous les liens avec eux et vivre dans une minuscule chambre sous les toits avec Elena. Il imagine une vie d’artiste partagée avec elle, les pièces de théâtre et les concerts de musique classique qu’il pourra voir gratuitement grâce à son travail, il s’imagine s’endormir dans sa minuscule chambre, sans famille, sans autre famille qu’Elena, et sans s’en rendre compte, il sourit. Il pense : Je donnerai tout pour avoir ce travail-là, je donnerai tout pour l’avoir. Il voudrait hurler Oui, pitié, je vous en prie, acceptez-moi, je ne suis pas comme les autres, il voudrait lui dire qu’elle est son seul espoir, que peut-être si elle ne l’accepte pas ce refus sera le point de départ de sa chute et que tout ce qu’il a fait jusque-là n’aura servi à rien, (...) que sans ce travail il devra devenir serveur dans un bar et que la pénibilité et la difficulté de ce travail lui causeront trop de fatigue et qu’à cause de la fatigue il ne réussira pas ces études et que sans diplôme il devra retourner dans le village et se faire embaucher à l’usine comme la plupart des hommes, ou essayer de survivre de petits boulots puisque l’usine est presque fermée, ou travailler aux caisses du supermarché comme sa cousine.Avoir une nouvelle vie(0)Texte
- Entre #17: L'hésitation amoureuse(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Un Terrier peu Commun ❘ 21/30(0)Audio
- Le Stade des Préados ❘ Karine ❘ 4/5(0)Vidéo
- Bahut dans 23h30 environ. L'horreur… Rien que penser que je vais retourner dans une classe où je n'ai pas ma place, ça me rend malade, bordel de merde… Enfin, j'essaie quand même de faire ce que je peux, mais il faudrait simplement que les parents pigent que certains naissant blancs, blacks, blonds, faits pour les sciences ou non. Moi non. C'est tout. Je suis un artiste moi, j'ai pas que ça à foutre de compter les chiffres, tracer les paraboles …Bahut dans 23h30 environ(0)Texte
- Il était une fois dans l'Est ❘ Inauguration ❘ 31/31(0)Vidéo
- J'ai enlevé mes rollers(0)Audio
- Il faut que je me vide. FAIS CHIER, FAIS CHIER, FAIS CHIER. Désolé, mais c'est comme ça. D'accord, t'as ton exam (examen), tu stresses, et tu veux voir personne. Mais tu peux pas te rendre compte du mal que ça fait d'entendre qu'il vaudrait mieux que je ne t’appelle pas, tu peux pas non plus savoir à quel point c'est dur d'entendre que tu rentres mais que tu peux pas me voir ne serait-ce qu'une seconde…une minute…Merci aussi pour les nuits passées à 1000 mètres de l'autre coté du pieu, soi disant que ça ne va pas. Tu me fais un mal de chien, alors que je n’ai rien demandé, merde, juste à être heureux avec toi. Avec tes humeurs, mes sentiments baissent. Je commence à croire malgré tout que tu me prends pour un con, et que tu essaies de jouer au maximum avec mes sentiments. D'accord, je comprends ton stress, d’ailleurs je ne bronche pas, au téléphone, je suis cool et compréhensif parce que je me dis que c'est passager, mais chaque jour ton visage s'estompe un peu plus, et ça me fout le moral à zéro, tu me tues. Bref. Ça fait du bien. (rupture)Ne serait-ce qu'une seconde(0)Texte
- Après qu'elle m'a dit qu'elle avait aimé L. comme son premier amour, qu'elle avait été tout du long malheureuse d'amour, et que tout était génial avec moi, et que si je ne comprenais pas ça, il ne fallait plus que je la touche. Je commençais à mettre mes chaussettes. J'avais déjà remis mon pull dans la pénombre, alors qu'elle s'est relevée pour fumer une cigarette à la fenêtre. Mais lorsqu'elle m'a vu faire cela, et continuer, bien qu'elle m'a dit que ce n'était pas la peine de la revoir, je l'ai vu sortir plusieurs boîtes de cachets, je croyais qu'elle avait une migraine. Mais lorsque j'ai vu la dizaine de pilules dans sa main, j'ai compris. Elle a commencé à prendre de l'eau, et à faire mine de les avaler. J'avais remarqué qu'elles étaient dans sa main, mais j'ai fait comme si je n'avais rien vu, de peur de la voir le faire pour de vrai, histoire de me prouver qu'elle en était capable. Plusieurs boîtes de cachets(0)Texte