Bonjour, on est l'école des Isles.
On est des élèves de CM1-CM2.
On travaille avec la bande passante et nous, on aime bien le sport.
On pratique plein de sport, le foot, le karaté, la danse, l'escalade.
On a rencontré des sportives et des sportifs.
Ils sont venus raconter leur passion.
Bonjour, je m'appelle Karine Bon.
Qui vous a donné envie de faire du karaté ?
Moi au départ, j'avais pas envie du tout.
Je voulais faire de la danse classique et en fait, on m'a forcé à faire du karaté quand j'étais plus jeune, parce que j'étais trop timide à la maternelle. On me piquait mon goûter et je n'osais rien dire.
Et je n'osais rien dire tellement j'étais timide.
Et le karaté, je n'avais pas envie.
Mais au final, je suis très très contente d'en avoir fait parce que ça m'a forgé le caractère.
Ça m'a appris à m'imposer à à pas me laisser faire, à dire "non, c'est mon goûter, c'est moi qui vais le manger, pas toi".
Qui vous a fait découvrir ce sport ?
C'est mon papa qui m'a fait découvrir ce sport parce qu'il en avait fait quand il était plus jeune.
C'est lui qui a eu l'idée de du karaté.
Alors évidemment, j'avais vu aussi au fur et à mesure les Karaté Kids et Bruce Lee aussi les films de Jean Claude Van Damme et j'aimais beaucoup tout ce qui avait un rapport avec le Japon.
Je lisais beaucoup de bande dessinée.
J'avais lu aussi La Pierre et le sabre, qui a un roman sur des histoires de samouraï aussi.
Plus, tout ce qui était à art japonais : les estampes, les origamis, etc.
Où pratiquiez vous le Karaté ?
J'ai commencé à l'âge de sept ans dans un tout petit club à Fameck.
À côté de Florange exactement.
J'avais vraiment un entraîneur super.
Et quand j'ai eu mon premier titre de championne de France.
Il m'a dit voilà maintenant "je t'ai appris et je t'ai apporté tout ce que je pouvais apporter, maintenant, il faut que tu ailles dans un plus grand club".
Et c'est là que j'ai changé et que je suis allé à Thionville et à Montigny.
Quand a eu lieu votre première compétition ?
Alors ma première compétition, j'avais neuf ans.
J'y suis allée parce que je faisais partie d'un club ou en fait le professeur il emmenait presque tous les enfants en compétition. C'était super sympa parce qu'on était tous ensemble. Dans ma tête, je n'y allais pas pour gagner. J'y allais parce que tout le monde y allait. C'était sympa. Et au final, j'ai gagné. Mais je ne m'y attendais pas du tout.
Quand vous étiez adolescente, à quelle heure vous couchiez avant avant une compétition ?
J'essayais de me coucher vers vingt-deux heures vingt-deux heures trente.
Sauf que la veille d'une compétition, je pense que c'est un petit peu comme vous, si il y en a qui font du sport, qui vont à des compétitions... Quand on veut bien faire, on stresse parce qu'il y a un enjeu parce qu'on a envie de réussir.
C'est comme vous plus tard, quand vous allez passer des examens, tout le monde stresse.
On est tous à égalité.
Vous vouliez être professionnelle ?
Le karaté, ça n'a jamais été un sport professionnel.
Donc je savais que ma carrière en karaté elle allait s'arrêter e environ à vingt-cinq vingt-six ans donc je savais très bien que je je devais prévoir quelque chose pour la suite. Donc j'ai fait des études pour devenir professeur de français et professeur de théâtre. Voilà, et actuellement je suis professeur de français en collège.
Que voudriez vous dire à l'enfant que vous étiez ?
Alors qu'est ce que je voudrais dire à l'enfant que j'étais?
Aie confiance en toi, t'es pas moins bien qu'une autre.
Entraine toi, tu vas réussir et puis surtout prendre du plaisir. Amuse-toi.
On est des élèves de CM1-CM2.
On travaille avec la bande passante et nous, on aime bien le sport.
On pratique plein de sport, le foot, le karaté, la danse, l'escalade.
On a rencontré des sportives et des sportifs.
Ils sont venus raconter leur passion.
Bonjour, je m'appelle Karine Bon.
Qui vous a donné envie de faire du karaté ?
Moi au départ, j'avais pas envie du tout.
Je voulais faire de la danse classique et en fait, on m'a forcé à faire du karaté quand j'étais plus jeune, parce que j'étais trop timide à la maternelle. On me piquait mon goûter et je n'osais rien dire.
Et je n'osais rien dire tellement j'étais timide.
Et le karaté, je n'avais pas envie.
Mais au final, je suis très très contente d'en avoir fait parce que ça m'a forgé le caractère.
Ça m'a appris à m'imposer à à pas me laisser faire, à dire "non, c'est mon goûter, c'est moi qui vais le manger, pas toi".
Qui vous a fait découvrir ce sport ?
C'est mon papa qui m'a fait découvrir ce sport parce qu'il en avait fait quand il était plus jeune.
C'est lui qui a eu l'idée de du karaté.
Alors évidemment, j'avais vu aussi au fur et à mesure les Karaté Kids et Bruce Lee aussi les films de Jean Claude Van Damme et j'aimais beaucoup tout ce qui avait un rapport avec le Japon.
Je lisais beaucoup de bande dessinée.
J'avais lu aussi La Pierre et le sabre, qui a un roman sur des histoires de samouraï aussi.
Plus, tout ce qui était à art japonais : les estampes, les origamis, etc.
Où pratiquiez vous le Karaté ?
J'ai commencé à l'âge de sept ans dans un tout petit club à Fameck.
À côté de Florange exactement.
J'avais vraiment un entraîneur super.
Et quand j'ai eu mon premier titre de championne de France.
Il m'a dit voilà maintenant "je t'ai appris et je t'ai apporté tout ce que je pouvais apporter, maintenant, il faut que tu ailles dans un plus grand club".
Et c'est là que j'ai changé et que je suis allé à Thionville et à Montigny.
Quand a eu lieu votre première compétition ?
Alors ma première compétition, j'avais neuf ans.
J'y suis allée parce que je faisais partie d'un club ou en fait le professeur il emmenait presque tous les enfants en compétition. C'était super sympa parce qu'on était tous ensemble. Dans ma tête, je n'y allais pas pour gagner. J'y allais parce que tout le monde y allait. C'était sympa. Et au final, j'ai gagné. Mais je ne m'y attendais pas du tout.
Quand vous étiez adolescente, à quelle heure vous couchiez avant avant une compétition ?
J'essayais de me coucher vers vingt-deux heures vingt-deux heures trente.
Sauf que la veille d'une compétition, je pense que c'est un petit peu comme vous, si il y en a qui font du sport, qui vont à des compétitions... Quand on veut bien faire, on stresse parce qu'il y a un enjeu parce qu'on a envie de réussir.
C'est comme vous plus tard, quand vous allez passer des examens, tout le monde stresse.
On est tous à égalité.
Vous vouliez être professionnelle ?
Le karaté, ça n'a jamais été un sport professionnel.
Donc je savais que ma carrière en karaté elle allait s'arrêter e environ à vingt-cinq vingt-six ans donc je savais très bien que je je devais prévoir quelque chose pour la suite. Donc j'ai fait des études pour devenir professeur de français et professeur de théâtre. Voilà, et actuellement je suis professeur de français en collège.
Que voudriez vous dire à l'enfant que vous étiez ?
Alors qu'est ce que je voudrais dire à l'enfant que j'étais?
Aie confiance en toi, t'es pas moins bien qu'une autre.
Entraine toi, tu vas réussir et puis surtout prendre du plaisir. Amuse-toi.
Résidence Artistique de la Cie La Bande Passante réalisée en milieu scolaire à l'École Élémentaire des Isles à Metz. Artistes intervenant·es : Tommy Laszlo et Laurence Moletta. Avec le soutien de la Ville de Metz.