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253 témoignages en ligne
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- Correspondances ❘ Maylis à l'adolescente qu'elle était ❘ 17/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à Guillaume et Mohamed ❘ 36/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à Claire et Leila ❘ 38/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Jackie à Maylis ❘ 18/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Bernard à Mia et Asdine ❘ 11/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Cettina à l'adolescente qu'elle était ❘ 13/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Maylis à Jackie ❘ 19/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Guillaume et Mohamed à Nathalie ❘ 33/39(0)Vidéo
- Entre #22 : Les mots des autres(0)Vidéo
- Bahut dans 23h30 environ. L'horreur… Rien que penser que je vais retourner dans une classe où je n'ai pas ma place, ça me rend malade, bordel de merde… Enfin, j'essaie quand même de faire ce que je peux, mais il faudrait simplement que les parents pigent que certains naissant blancs, blacks, blonds, faits pour les sciences ou non. Moi non. C'est tout. Je suis un artiste moi, j'ai pas que ça à foutre de compter les chiffres, tracer les paraboles …Bahut dans 23h30 environ(0)Texte
- Après qu'elle m'a dit qu'elle avait aimé L. comme son premier amour, qu'elle avait été tout du long malheureuse d'amour, et que tout était génial avec moi, et que si je ne comprenais pas ça, il ne fallait plus que je la touche. Je commençais à mettre mes chaussettes. J'avais déjà remis mon pull dans la pénombre, alors qu'elle s'est relevée pour fumer une cigarette à la fenêtre. Mais lorsqu'elle m'a vu faire cela, et continuer, bien qu'elle m'a dit que ce n'était pas la peine de la revoir, je l'ai vu sortir plusieurs boîtes de cachets, je croyais qu'elle avait une migraine. Mais lorsque j'ai vu la dizaine de pilules dans sa main, j'ai compris. Elle a commencé à prendre de l'eau, et à faire mine de les avaler. J'avais remarqué qu'elles étaient dans sa main, mais j'ai fait comme si je n'avais rien vu, de peur de la voir le faire pour de vrai, histoire de me prouver qu'elle en était capable. Plusieurs boîtes de cachets(0)Texte
- Il faut que je me vide. FAIS CHIER, FAIS CHIER, FAIS CHIER. Désolé, mais c'est comme ça. D'accord, t'as ton exam (examen), tu stresses, et tu veux voir personne. Mais tu peux pas te rendre compte du mal que ça fait d'entendre qu'il vaudrait mieux que je ne t’appelle pas, tu peux pas non plus savoir à quel point c'est dur d'entendre que tu rentres mais que tu peux pas me voir ne serait-ce qu'une seconde…une minute…Merci aussi pour les nuits passées à 1000 mètres de l'autre coté du pieu, soi disant que ça ne va pas. Tu me fais un mal de chien, alors que je n’ai rien demandé, merde, juste à être heureux avec toi. Avec tes humeurs, mes sentiments baissent. Je commence à croire malgré tout que tu me prends pour un con, et que tu essaies de jouer au maximum avec mes sentiments. D'accord, je comprends ton stress, d’ailleurs je ne bronche pas, au téléphone, je suis cool et compréhensif parce que je me dis que c'est passager, mais chaque jour ton visage s'estompe un peu plus, et ça me fout le moral à zéro, tu me tues. Bref. Ça fait du bien. (rupture)Ne serait-ce qu'une seconde(0)Texte
- Te souvenir des oublis(0)Texte
- C'est dur maman. C'est dur de ne pas savoir si je me trompe ou non. Parce que tout pourrait juste être une obsession comme tu as dit. Juste un de ses mal-être qu'ont les ados. Juste une excuse, une sorte de solution pour mon trou au cœur. C'est si dur car si tout cela n'est pas un stupide mal-être adolescent de passage, alors c'est énorme ! Je vivrai tout ça le reste de ma vie. J'aurais encore longtemps cette impression de décalage constant entre mon corps et l'idée que j'ai de moi-même. Je devrai mutiler mon corps et emporter les cicatrices, les tatouages pour pouvoir enfin ne plus ne plus sentir ma poitrine, mes seins posés sur mon torse. Ils sont constamment là, face au miroir ce sont de petites boules accrochées à mon corps, des boules qui n'ont pas leur place ici. Lorsque je marche et que je me visualise comme un garçon, tout va bien. Mais lors ce que ces deux poids me reviennent en tête, c'est comme lorsque l'on porte un T-shirt nouveau, et que l'étiquette vous gratte constamment. Et bien mais ça me gratte constamment maman. Ce corps n'est pas encore sécuritaire pour moi. Je sais à quel point c'est énorme. Mais je ne peux pas le faire seul. Il me faudra celle qui depuis le début était là. Pourras-tu rester à mes côtés ? Je t'en supplie reste. Continue de m'aimer comme ton enfant. Même en tant que fils je resterai ton enfant. Ne me laisse pas. Je suis seul à 11 000 km, ça je peux. Mais affronter tout ce qui m'arrivera seul je ne pourrai pas.Ce corps me gratte(0)Texte
- Correspondances ❘ Jackie à Maylis ❘ 20/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à son amour d'adolescente ❘ 24/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Amel à Cettina ❘ 16/39(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Les Derniers Enfants de Mineurs ❘ 11/30(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ Audrey's Garage ❘ 23/30(0)Audio
- Entre #23 : Écrire(0)Vidéo