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- J'en ai trop marre. Je sais plus du tout où j'en suis je me pose trop de questions. J'ai l'impression que ce ne cela n'arrive qu'à moi de ressentir ça… J'espère que c'est l'adolescence et que cela ne va pas durer. Ce qu'il faudrait que je fasse, c'est essayer tout de suite de redevenir comme avant.Redevenir comme avantTexte
- Quand je vois ces petits bourges et fils-à-papa qui se feront payer les meilleures études, seront aidés pour monter leur boîte ou je ne sais quoi, ça me révolte. Je sais que moi, je ne pourrai jamais entrer dans une école privée, tout simplement. Donc, si je veux arriver au même niveau qu’eux, je dois avoir le double de mérite, en plus d’un gros paquet de chance. Un gros paquet de chanceTexte
- J’oublie tous les chemins que je prends, ne rencontre personne ici qui me fasse oublier mon identité : en ce moment je ne suis rien. Je flotte entre des choses qui ne sont pas moi. Je flotte entre des chosesTexte
- L. m’a un peu fait découvrir la femme, en me faisant prendre ses seins dans mes mains. J’avais découvert ça avec innocence, avec perversion. Ou les deux en même temps ? Je les avais caressés, pressés, nus.Avec innocence, avec perversionTexte
- J'ai enlevé mes rollersAudio
- 14 ans en Barétous 8 ❘ RosieVidéo
- Les beaux-endroits c’est pour ailleursTexte
- Larmes en ce moment de grande tristesse, d'immense douleur. J'éprouve plutôt de la haine et de la rage. Pourquoi la vie est-elle ainsi faite pour manquer d'amour certains jours ? Pourquoi l'amour est-il ainsi fait pour pleurer ce que l'on désire ? Pourquoi l'amour est-il ainsi fait pour enlever un jour ou l'autre ce que l'on a de plus cher au monde ? Larmes de manqueTexte
- Imaginez. Vous êtes là. Assis sur votre chaise. Au milieu d'une rangée. Devant et derrière vous des autres rangées semblables. Peu importe. Imaginez. Que le prof se mette à chanter. À danser. Tout simplement. Il monte sur son bureau et fait son cours. Imaginez que les normes n'existent plus, donc cela ne choque pas. La normalité n'existe pas. Elle n'a jamais existé. Imaginez tout ce que l'on ferait si les normes n'étaient pas aussi restreintes. Imaginez. Vous êtes toujours dans votre rangée, sur votre chaise. Imaginez le nombre de personnes, d'élèves disciplinés qui se sont assis sur cette même chaise. Depuis des années et des années, presque tous les jours. Imaginez les heures passées, perdues, regarder par la petite fenêtre qui se trouve à votre gauche ou à votre droite, pour trouver un petit coin de ciel, pas souvent bleu. Un petit bout d'espoir. Penser aux heures perdues à écouter sans comprendre de quoi on vous parle. Le temps passé à se demander ce qu'on faisait là alors qu'on avait envie d'être ailleurs, avec d'autres personnes. Qui nous apprennent des choses beaucoup plus importantes. Toujours dans votre rangéeTexte
- 14 ans en Barétous 4 ❘ ChantalVidéo
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