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- Il faut que j'arrête de t'aimer ou tu me tueras. Je ne veux pas te perdre. Raté. Il faut se battre pour ses sentiments. Ou pas. à paris, tu relookeras tous les tarés Tu metteras des petits hauts et tu raccourciras le bas et moi je devrais m'effacer, je ne serai plus là Je ne veux pas tout perdre Je vole ton journal en catimini Je sais. C'est de la merde. Je sais. C'est de la merde. Comme tout ce que tu as écrit. Je suis rentrée, j'ai bouffé trop de pizza, dans mon plumard, j'ai dégueulé. Je laisse tremper les draps, pendant que je me rince la bouche. A 4h30, j'ai regerbé l'eau que j'avais bu. Tu verras ma geule. La touche. J'ai une chiasse énorme qui me sors du cul. Reviens, j'ai besoin d'un calin. Tu dis qu'il t'a construite. Tu es son petit lapin. Et moi je t'ai détruite et tu t'en fous toi. Tu te sauves. Aujourd'hui t'es belle, t'es forte, tu crânes. Je vais le buter cet enculé de chauve. Lui faire une grosse entaille au cutter sur son crâne Et tous mes souvenirs de toi au fond. N'oublie pas ce que je t'ai dis. Tu peux crever. Déja moi je t'oublie. Tu peux creverAudio
- Un jour on crèveAudio
- Entre #23 : ÉcrireVidéo
- Entre #8 : En quoi croire ?Vidéo
- J'ai envie de crier toute ma colère, toute ma haine cette putain de vie. Merde ! Merde la terre entière, j'en peux plus de cette vie de merde, j'ai envie de tout claquer la terre entiére me fait chié. Les mecs me font chié, j'en veux plus, plus jamais, je veux plus être dépendante d'une bite à la con qui pense qu'à rentrer sans aucun respect pour la personne. J'en peux plus, j'emmerde toute la terre, je hais tout sur cette terre surtout tous les mecs à la con et la meuf de la Ligne 4 ! T'as une haine envers tous les mecs je les déteste tous. J'en veux plus, je ne veux plus rien, j'en peux plus du tout de ce bordels, j'en ai rien a foutre d'avoir un mec, ça nous détruit et ça c'est même pas nous respecter. Même mon père est ingrat. J'emmerde tous les mecs encore une fois parce qu'ils ont bien mérité en espérant que cette année soit si forte qu'elle les détruisent tous. Tous ceux qui m'ont fait du mal et tous ceux pour qui j'ai dû me brûler les yeux en versant des larmes. Que soient punis tout ceux qui ont osé les faire avec moi. Je crois en une grosse force en moi capable de destruction. Capable de prendre les commandes de tout ce que je veux. Je suis capable de faire de ma vie ce que je veux. Ce soir je me morfonds, ça me fait du bien. Et je sais que dans la nuit j'aurai fait le point et que je changerai tout. Que, sincérement soient puni tous les hommes capables de mal. Merde à cette gente. On ne peut rien tirer d'une bite.Crier toute ma colèreAudio
- Je pense déjà à la séparation. Et pourtant je sais que je n'ai aucune chance de trouver mieux. Mon moi salaud est ressorti, il crie « misogynie ! » Il crie « solitude ! », Il écrit « amour = conneries à deux ! ». C'est navrant j'ai tout perdu.Il crie solitude Texte
- Entre #13 : Un monde sucréVidéo
- Ceci était mon journal. J'ai passé tellement de temps à écrire dessus, ça me fait bizarre de me dire qu'il ne sera plus là pour me réconforter, m'inspirer. 2 ans de vie écrite !! 2 ans de bons moments d'histoire, de tristesse, de sentiments, de nouveauté. C'est mon histoire. J'avais envie que ces pages soient infinies. 2 ans de vies écritesTexte
- Les beaux-endroits c’est pour ailleursTexte
- Des pas de plus vers le futurTexte
- Je me lève, je travaille, je dorsTexte
- C'est mieux plus tard ?Texte
- Tu me rappelles tout le resteTexte
- Notre seul feu d’artifice ensembleTexte
- Je me sens «dans » la libertéTexte
- Une vie plan BTexte
- Correspondances ❘ Bernard à Mia et Asdine ❘ 11/39Vidéo
- Correspondances ❘ Garance et Samantha à Sylvie ❘ 22/39Vidéo
- Chez toi, c’est l’endroit où j’ai découvert qu’il y avait des fenêtres de sociabilité. Là où j’ai découvert ma propre joie. Que ma parole avait du sens. Là où les mots me sont venus. Un lieu d’autonomie. Où j’ai pu prendre le risque de rater, la crainte du reproche en moins. Chez toi j’ai découvert des chemins dans lesquelles je pouvais avoir de l’amour pour des mondes qui m’intimidaient. Un lieu en moi. Je vais chez toi en secret, je n’y vais pas forcément avec mon corps, mais par la présence d’un objet, ou d’un vêtement, ou d’un souvenir. Je n’aimerais pas que tu deviennes une simple salle vide, sans couleurs. Une salle vide c’est un simple plafond, des fenêtres, un sol qui attend d’être rempli. Une page blanche sans crayons, sans couleurs, sans intentions. Prendre le risque de raterTexte
- Correspondances ❘ Sam à Sylvie ❘ 25/39Vidéo