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- Il faut que je me vide. FAIS CHIER, FAIS CHIER, FAIS CHIER. Désolé, mais c'est comme ça. D'accord, t'as ton exam (examen), tu stresses, et tu veux voir personne. Mais tu peux pas te rendre compte du mal que ça fait d'entendre qu'il vaudrait mieux que je ne t’appelle pas, tu peux pas non plus savoir à quel point c'est dur d'entendre que tu rentres mais que tu peux pas me voir ne serait-ce qu'une seconde…une minute…Merci aussi pour les nuits passées à 1000 mètres de l'autre coté du pieu, soi disant que ça ne va pas. Tu me fais un mal de chien, alors que je n’ai rien demandé, merde, juste à être heureux avec toi. Avec tes humeurs, mes sentiments baissent. Je commence à croire malgré tout que tu me prends pour un con, et que tu essaies de jouer au maximum avec mes sentiments. D'accord, je comprends ton stress, d’ailleurs je ne bronche pas, au téléphone, je suis cool et compréhensif parce que je me dis que c'est passager, mais chaque jour ton visage s'estompe un peu plus, et ça me fout le moral à zéro, tu me tues. Bref. Ça fait du bien. (rupture)Ne serait-ce qu'une secondeTexte
- Correspondances ❘ Sylvie à Garance et Samantha ❘ 23/39Vidéo
- Correspondances ❘ Carine à l'adolescente qu'elle était ❘ 28/39Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à Guillaume et Mohamed ❘ 36/39Vidéo
- Il y a un truc qui me saoûle : mes copines elles murissent vite, alors que moi, j'ai pas de nichons, je suis méga small, et je suis pas très belle. Elles font une crise d'adolescence, et je ne sais pas pourquoi, je ne comprends pas ou alors, je me dis que je ne grandirai jamais. J'aimerais bien ne pas être en retard et suivre leur vitesse de grandir.J'aimerais bien ne pas être en retardMultimédia
- Entre #4 : Une nouvelle amieVidéo
- Entre #17: L'hésitation amoureuseVidéo
- Et, assis sur les ruines de la vieille muraille, je penserais à toi. Tu sais, en fait j'aimerais bien retourner un peu au collège, pas pour travailler, mais pour pouvoir te revoir, toi et les autres. Les grandes vacances sont trop longues, peut-être : mais heureusement que les lettres nous rapprochent les uns des autres. Mais moi, personnellement, je n'aime pas vraiment les sentiments par lettre interposées. Les lettres se conservent mieux que les paroles. Pourtant, une parole, une phrase, fait je crois beaucoup plus d'effet dans notre esprit qu'une écriture. Mais, en même temps, l'écriture est un moyen indirect de dire des choses que l'on ose pas dire oralement, et ça facilite les choses pour les timides. Maintenant, la nuit est tombée, et la bougie qui m'éclaire commence à faiblir. Des étoiles s'alignent dans ma tête. Et c'est par l'écriture que je vais t'embrasser au clair de lune. Allez, chut ! Je dors… Bonne nuit. Tu me manques.Des sentiments par lettres interposéesTexte
- Le grand-père de S. nous attendait à l'aéroport John Fitzgerald Kennedy. En sortant, j'ai été tout de suite dépaysée par les voitures qui sont énormes, vitres teintées, limousines, taxis jaunes. Pour aller à la maison, dans le New Jersey on est passé par Manhattan, enfin un bout, j'ai vu l'empire State building et d'autres immeubles. Comme dans les films. Sauf, que j'ai quand même été surprise car on était dans un quartier pas « très beau », assez délabré, vieux, sinistre, déprimant. Pour l'instant, c'est ma seule image de New York, mais je pense que quand on ira au centre, ce sera mieux. Enfin j'espère. Il y a plein de terrains de basket… Partout. C'est génial. Et au bout de bien deux heures de route on est arrivés à la maison. Maison typique américaine. J'ai vu tout le monde : sa grand-mère, sa tante, son oncle, et son cousin. Ils ne parlent que russe et boivent du Coca-Cola à table ! Mais bon je m'habituerai. De toute manière il fallait s'y attendre. Mais je suis un peu perdue et je suis vraiment de trop. S. me fait croire que non mais bon. J'ai l'impression de lui gâcher ses vacances. Et puis je ne veux pas prendre de place dans sa vie. Sinon, entre nous, ça va bien pour le moment. Même si je suis chiante, il ne dit rien. Sûrement fait-il des efforts, qui sait ?À l'aéroport John Fitzgerald KennedyTexte
- Je suis en face de lui. Il ne dit rien. Je le regarde tout au fond de ses yeux. Ils sont beaux, mais ils sont vides. Vides. Ils ne disent rien. C'est triste des yeux qui nous disent rien. Ils sont fermés sur le monde. Ils ne voient rien. Ni la beauté, ni la misère. Ni le ciel, ni la terre. Rien. Il passe mais ne voit pas. Quand il marche dans la rue, il regarde en face de lui, ne croise pas un regard voisin. Il avance. Regarde à gauche à droite avant de traverser, automatiquement. Parfois il marche aussi la tête baissée, les yeux fixés sur le macadam. Maintenant, il est assis, droit. Il ne dit rien. Et ne dira rien. Plus jamais. C'est trop tard. Des yeux qui ne disent rienTexte
- On vit notre vie telle qu'on nous l'a apprise. Est-ce la bonne méthode ? Ne pourrais-je pas être heureuse autrement ? Travailler toute ma vie pour la « gagner »… La gagner ? C'est donc un jeu. Je joue ma vie parce que quelqu'un m'a appris comme ça ? Et si je n'ai pas envie de jouer ? Et si je n'ai pas envie de gagner ? Sur terre ça se passe ainsi. On est tous enfermé, emprisonné dans le globe qu'ils appellent ciel et que l'on croit aveuglément. Enfermé dans leurs lois pour vivre mieux en communauté. Si tu choisis de vivre mieux dans un autre esprit, ils t'enferment. Je n'ai pas le temps de jouer. Je veux connaître ce qu'ils appellent « monde ». Je veux vivre autre chose. Et si je ne veux pas gagner ?Texte
- 14 ans en Barétous 3 ❘ MichelVidéo
- 14 ans en Barétous 4 ❘ ChantalVidéo
- 14 ans en Barétous 7 ❘ CatherineVidéo
- Correspondances ❘ Noah à Michelle ❘ 02/39Vidéo
- Correspondances ❘ Mia à Bernard ❘ 09/39Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à l'adolescente qu'elle était ❘ 21/39Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à Sam ❘ 26/39Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à Claire et Leila ❘ 38/39Vidéo
- Bonjour, Nous sommes les élèves de troisième du collège Joliot Curie à Tucquegnieux. On travaille avec la compagnie La Bande Passante sur le projet qui s'appelle "Il était une fois dans l'Est". Et on voudrait savoir : c'était quoi avoir quatorze ans ici ? Comment vous appelez vous ? 0:19 Nous avons rencontré Joelle mon Xiao dans le roman Comment vous occupiez vous avec vos amis? 0:25 Durant le temps libre, on sortait, on était beaucoup dehors. 0:28 En fait, quand on était jeunes, on n'était pas à l'intérieur comme maintenant et on faisait plein de choses dans les rues, dans les bois. 0:37 autour de l'étang. 0:38 Beaucoup j'habitais en face de l'état en plus bon, venez surtout en été, Alors il y avait des grenouilles ont mené à la chasse aux grenouilles Et puis en hiver on venait, on n'est plus sur le lit en hiver parce qu'ils étaient gelés et on faisait des glissades là-dessus. 0:53 Alors c'était marrant parce qu'on était tous autour de Dugué tous les jours. 0:56 Les gosses du quartier, il y en avait un qui était toujours plus culotté que les autres disent avoir six attire. 1:02 Alors ils allaient avec un pied comme ça. 1:03 Ils Puis il dit Ouais, c'est bon, venez puis en arriver là à vingt, Alors le poids n'était pas du tout le même, mais on était inconscient. 1:11 Complètement. 1:11 Il y en a une percuté au bouillon quand même. 1:14 j'ai une copine qui est qui est tombé à la fin. 1:16 Ça a craqué sous ses pieds. 1:17 Elle a la jupe qui a gelé instantanément autour. 1:21 Heureusement, on a pu la rattraper mais elle a eu froid. 1:25 il y a eu des petits accidents quand même Avez-vous des anecdotes sur votre jeunesse une fois ma mère alors donc on était en face. 1:32 Ma mère, elle voyait de la fenêtre, de la cuisine et voyez ce qui se passait. 1:36 et mon frère avait fabriqué un radeau avec des trouver des planches. 1:42 On avait dit je me rappelle, c'était des anciennes caisses d'oranges. 1:45 On était assis dessus, il avait mis des chambres à air en dessous, il avait attaché tout ça. 1:50 Et puis il allait sur le Gard. 1:52 Ma mère, elle dit bon, il va sur le gay, mais pas trop loin, quoi. 1:54 Et puis tout d'un coup, il regarde par la fenêtre et moi j'étais petit. 1:57 J'avais trois, quatre, cinq ans. 1:59 J'étais au milieu de l'étang avec mon frère ne savait pas nager. 2:04 ma mère, elle a eu un coup de coeur. 2:05 Elle est venue nous chercher. 2:06 On, c'est fait. 2:07 C'est fait gronder, bien sûr. 2:11 quel âge avait votre frère mon frère? 2:14 Si j'avais quatre, cinq ans ils en avaient e onze de plus petite ado, on s'est bien amusés dans sept ans.Il était une fois dans l'Est ❘ du Rafting sur l'Étang ❘ 15/30Audio