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- Ce soir j'ai pleuré parce que ma mère voulait qu'on aille visiter le collège Saint-Dominique. Un collège de merde. Donc on est allé à Saint-Dominique et pour faire chier ma mère et la directrice je me suis trop mal tenue. En attendant qu'elle arrive je me suis affalée sur un banc, et je lui ai lancé un regard noir quand elle est arrivée. Après j'ai marché et j'ai trop parlé comme une racaille, et quand on est arrivées dans son bureau elle m'a posé des questions, je répondais à peine, Mais bon je me suis mise à pleurer parce que je voulais pas y aller. Du coup je suis trop dégoûtée, j'étais déprimée à mort, mais d'un autre côté, c'est vrai que j'avais fait n'importe quoi cette année, je suis devenu n'importe quoi. Je me suis dit que c'était quand même une chance de venir là-bas parce que je redeviendrais bien. Mais au fond, j'ai pas envie d'y aller. Enfin je sais pas je sais plus où j'en suis, je sais plus quoi penser.Je suis devenue n'importe quoi(0)Texte
- 14 ans en Barétous 6 ❘ Valentine(0)Vidéo
- C'est dur maman. C'est dur de ne pas savoir si je me trompe ou non. Parce que tout pourrait juste être une obsession comme tu as dit. Juste un de ses mal-être qu'ont les ados. Juste une excuse, une sorte de solution pour mon trou au cœur. C'est si dur car si tout cela n'est pas un stupide mal-être adolescent de passage, alors c'est énorme ! Je vivrai tout ça le reste de ma vie. J'aurais encore longtemps cette impression de décalage constant entre mon corps et l'idée que j'ai de moi-même. Je devrai mutiler mon corps et emporter les cicatrices, les tatouages pour pouvoir enfin ne plus ne plus sentir ma poitrine, mes seins posés sur mon torse. Ils sont constamment là, face au miroir ce sont de petites boules accrochées à mon corps, des boules qui n'ont pas leur place ici. Lorsque je marche et que je me visualise comme un garçon, tout va bien. Mais lors ce que ces deux poids me reviennent en tête, c'est comme lorsque l'on porte un T-shirt nouveau, et que l'étiquette vous gratte constamment. Et bien mais ça me gratte constamment maman. Ce corps n'est pas encore sécuritaire pour moi. Je sais à quel point c'est énorme. Mais je ne peux pas le faire seul. Il me faudra celle qui depuis le début était là. Pourras-tu rester à mes côtés ? Je t'en supplie reste. Continue de m'aimer comme ton enfant. Même en tant que fils je resterai ton enfant. Ne me laisse pas. Je suis seul à 11 000 km, ça je peux. Mais affronter tout ce qui m'arrivera seul je ne pourrai pas.Ce corps me gratte(0)Texte
- Il était une fois dans l'Est ❘ Chez Barbieri ❘ 17/30(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ Inauguration ❘ 31/31(0)Vidéo
- Reculer(0)Image
- Tu es là-bas, à l'horizon, tu m'attends tu me dis de te rejoindre. J'aimerai, je marcherai sans arrêter sans sentir les coraux sur mes pieds, le sel qui me pique, l'eau qui me colle. J'avancerai. Je ne sentirai pas mes yeux qui brûlent, mes poumons remplis d'eau, j'avancerai les pieds dans le sable. Je découvrirai ce monde sous-marin, les yeux toujours rivés sur toi. Je te rejoindrai.Tu es là bas, à l'horizon(0)Texte
- Ça sert à quoi les parents ? À part à t'apprendre à parler à marcher ça te fait chier pendant tout le reste de ta vie. Ils avaient qu'à réfléchir avant de me fabriquer ! Je me suis écrit VDM (vie de merde) sur l'avant-bras avec un cutter mais mon père m'a capté. De toute façon à mes 16 ans je me casse chez mamie. Ça sert à quoi les parents ?(0)Texte
- Le Monde à l'Intérieur ❘ Je te rejoindrai ❘ 12/19(0)Audio
- Cher Futur Moi — Marion(0)Vidéo
- Entre #12 : Avant Noël(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Bernard à Mia et Asdine ❘ 11/39(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ L'Ancienne École ❘ 2/30(0)Audio
- Il était une fois dans l'Est ❘ Audrey's Garage ❘ 23/30(0)Audio
- Entre #20 : Le revirement de Charlotte(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Devenir ❘ 22/30(0)Audio
- Entre #18 : Une chanson(0)Vidéo