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253 témoignages en ligne
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- Correspondances ❘ Carine à Gloria ❘ 30/39(0)Vidéo
- Mon père a appelé le bahut et il a appris qu'on avait quitté à 13h et donc que j'avais menti. Il m'a défoncée ! V'là le cable qu'il a pété ! Comme quoi j'étais une imbécile, que j'avais pas l'âge de faire ce que je veux, que je le fais chier depuis le mois de septembre, que j'avais fait chier tout le monde. Et puis il m'a même demandé de décrocher tous les sacs et les marques accrochés sur mon mur. Il m'a privé de sortie, d'ordi, de téléphone, de maquillage, de vernis, de voir A., qu'elle vienne chez moi, que j'aille chez elle… J'étais tellement énervée que j'ai balancé le couvercle d'une caisse sur le mur tout neuf, je l'ai pété et j'ai fait un trou dans le mur. J'ai pleuré pendant au moins une heure. Et voilà les baffes que mon daron m'a foutu. Juste pour ça !Juste pour ça(0)Texte
- Le Stade des Préados ❘ Charline ❘ 3/5(0)Vidéo
- Entre #2 : Comment survivre à la rentrée(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Se Baigner dans la Cuisine ❘ 7/30(0)Audio
- Le Monde à l'Intérieur ❘ Justine ❘ 19/19(0)Audio
- Le Monde à l'Intérieur ❘ tu peux crever ❘ 17/19(0)Audio
- Correspondances ❘ Maylis à l'adolescente qu'elle était ❘ 17/39(0)Vidéo
- Je me rends compte en me déshabillant que de petites traces rouges ornent ma culotte ! Je vais voir maman à qui je dis "je crois bien que j'ai mes règles". Donc serviette nana goodnight pour la nuit. Tu te rends compte, je suis réglée à 14 presque et demi. Enfin maintenant c'est fait. Le matin je me lève et aux toilettes serviette pleine. La tête a commencé à tourner, j'ai plus rien vu, je suis sortie des chiottes. J'ai couru à traver la cuisine jusqu'au lave vaisselle. Je rentre dedans et je m'écroule par terre la tête sur le carrelage. (sang,règles,menstruations,puberté)De petites traces rouges(0)Texte
- Correspondances ❘ Mia à Bernard ❘ 09/39(0)Vidéo
- J’ai rencontré Pierre. Il est venu me voir dans l’appartement du boulevard Carnot et nous avons fait l’amour. Je me souviens de chaque détail, le soleil dehors, la fenêtre ouverte et le souffle tiède de l’air qui entrait dans l’appartement, son apparition quand il a garé sa voiture, le bruit sec et brutal de la portière. Quand il est entré dans l’appartement et que je l’ai embrassé je pensais, J’embrasse un homme, la phrase se répercutait pendant que mes lèvres touchaient les siennes. Chaque parcelle de lui était un synonyme du mot Liberté, Liberté conquise contre toi, contre toute ma vie, Liberté la barbe sur son visage, Liberté les muscles sous le tissu de son tee-shirt, Liberté la pilosité de ses bras, Liberté son sexe qui se tendait sous la toile de son jean, Liberté contre ce que le monde avait voulu de moi.Chaque parcelle de lui(0)Texte
- Sur le chemin vers le théâtre, l’excitation monte, il se voit déjà avoir une nouvelle vie, ne plus fréquenter sa famille, rompre tous les liens avec eux et vivre dans une minuscule chambre sous les toits avec Elena. Il imagine une vie d’artiste partagée avec elle, les pièces de théâtre et les concerts de musique classique qu’il pourra voir gratuitement grâce à son travail, il s’imagine s’endormir dans sa minuscule chambre, sans famille, sans autre famille qu’Elena, et sans s’en rendre compte, il sourit. Il pense : Je donnerai tout pour avoir ce travail-là, je donnerai tout pour l’avoir. Il voudrait hurler Oui, pitié, je vous en prie, acceptez-moi, je ne suis pas comme les autres, il voudrait lui dire qu’elle est son seul espoir, que peut-être si elle ne l’accepte pas ce refus sera le point de départ de sa chute et que tout ce qu’il a fait jusque-là n’aura servi à rien, (...) que sans ce travail il devra devenir serveur dans un bar et que la pénibilité et la difficulté de ce travail lui causeront trop de fatigue et qu’à cause de la fatigue il ne réussira pas ces études et que sans diplôme il devra retourner dans le village et se faire embaucher à l’usine comme la plupart des hommes, ou essayer de survivre de petits boulots puisque l’usine est presque fermée, ou travailler aux caisses du supermarché comme sa cousine.Avoir une nouvelle vie(0)Texte
- Correspondances ❘ Cettina à l'adolescente qu'elle était ❘ 13/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Bernard à Mia et Asdine ❘ 11/39(0)Vidéo
- C'est dur maman. C'est dur de ne pas savoir si je me trompe ou non. Parce que tout pourrait juste être une obsession comme tu as dit. Juste un de ses mal-être qu'ont les ados. Juste une excuse, une sorte de solution pour mon trou au cœur. C'est si dur car si tout cela n'est pas un stupide mal-être adolescent de passage, alors c'est énorme ! Je vivrai tout ça le reste de ma vie. J'aurais encore longtemps cette impression de décalage constant entre mon corps et l'idée que j'ai de moi-même. Je devrai mutiler mon corps et emporter les cicatrices, les tatouages pour pouvoir enfin ne plus ne plus sentir ma poitrine, mes seins posés sur mon torse. Ils sont constamment là, face au miroir ce sont de petites boules accrochées à mon corps, des boules qui n'ont pas leur place ici. Lorsque je marche et que je me visualise comme un garçon, tout va bien. Mais lors ce que ces deux poids me reviennent en tête, c'est comme lorsque l'on porte un T-shirt nouveau, et que l'étiquette vous gratte constamment. Et bien mais ça me gratte constamment maman. Ce corps n'est pas encore sécuritaire pour moi. Je sais à quel point c'est énorme. Mais je ne peux pas le faire seul. Il me faudra celle qui depuis le début était là. Pourras-tu rester à mes côtés ? Je t'en supplie reste. Continue de m'aimer comme ton enfant. Même en tant que fils je resterai ton enfant. Ne me laisse pas. Je suis seul à 11 000 km, ça je peux. Mais affronter tout ce qui m'arrivera seul je ne pourrai pas.Ce corps me gratte(0)Texte
- Il était une fois dans l'Est ❘ Le Certificat d'Études ❘ 13/30(0)Audio
- Entre #19: L'une revient, l'autre s'en va(0)Vidéo
- Entre #14: Préparer l'avenir(0)Vidéo
- Entre #23 : Écrire(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Inauguration ❘ 31/31(0)Vidéo