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- Comment faut-il s'y prendre avec les hommes ? Faut-il faire comme si on s'en fichait et les ignorer ? Non, ça durerait des années. Faut-il est adorable avec eux ? Non, ça fait trop lèche cul et c'est pire s'il nous trouve laide. Faut-il faire le premier pas ? Comment faut-il réagir ? S'habiller ? Se comporter ? Rahhh ! Je ne sais pas comment faire ! Comment faut-il s'y prendre ?Texte
- Chez toi, c’est l’endroit où j’ai découvert qu’il y avait des fenêtres de sociabilité. Là où j’ai découvert ma propre joie. Que ma parole avait du sens. Là où les mots me sont venus. Un lieu d’autonomie. Où j’ai pu prendre le risque de rater, la crainte du reproche en moins. Chez toi j’ai découvert des chemins dans lesquelles je pouvais avoir de l’amour pour des mondes qui m’intimidaient. Un lieu en moi. Je vais chez toi en secret, je n’y vais pas forcément avec mon corps, mais par la présence d’un objet, ou d’un vêtement, ou d’un souvenir. Je n’aimerais pas que tu deviennes une simple salle vide, sans couleurs. Une salle vide c’est un simple plafond, des fenêtres, un sol qui attend d’être rempli. Une page blanche sans crayons, sans couleurs, sans intentions. Prendre le risque de raterTexte
- Deux ballons et du scotchImage
- J’oublie tous les chemins que je prends, ne rencontre personne ici qui me fasse oublier mon identité : en ce moment je ne suis rien. Je flotte entre des choses qui ne sont pas moi. Je flotte entre des chosesTexte
- Aucun dessin pour décrire cette nuit. Juste une vague impression de flammes qui dansent. Danse sauvage et douce. Si enivrante accompagnée d'un bruit de pluie en fond. Une tente, la pluie, des bisous posés tant qu'ils peuvent l’etre, odeur perdue de clopes et de sueur. Les paroles dites, répétées à peine écoutées. Une idée en tête impossible. L'envie qui prend le dessus, le désir qui s'exprime tant qu'il le peut. Un amour fou mais si doux. Un amour fou mais si douxTexte
- Elle me dit tu dis pas que je suis conne ! Elle me tire les cheveux super fort ! J'arrivais plus à bouger. Et elle me met par terre toujours en criant la même chose. Et là elle me prend par les cheveux elle me met un gros coup de genou dans le nez. Je suis partie en courant et seulement quand elle me voyait plus j'ai pleuré. C'est vraiment choquant et ça restera dans ma vie toute ma vie dans ma tête. J'arrivais plus à bougerTexte
- En ce moment je me renferme sur moi. Je reste toute seule, j'essaye de gérer mes moments de déprime ou, quand ça me reprend comme l'année dernière, les moments où je ne savais plus où j'en étais. Enfin ça me prend trop la tête. En ce moment je me dis que je suis qu'une merde, que je ne suis une amie de merde ! Je me renferme Texte
- Je suis là, dans mon lit à écouter la musique de Titanic. Je pense. Je me souviens. Dans les champs avec lui, dans le lac avec elle, et moi qui me prenait pour Brigitte Bardot, dans le camping, les lavabos et les crapauds. Le bar et le pont (pour se suicider). La fête est ma première vraie nuit blanche, le champ de maïs, la nuit, le petit chemin, la soupe à 7h du matin. Les nuits à la belle étoile. Les nuits à la belle étoileTexte
- Il faut que je me vide. FAIS CHIER, FAIS CHIER, FAIS CHIER. Désolé, mais c'est comme ça. D'accord, t'as ton exam (examen), tu stresses, et tu veux voir personne. Mais tu peux pas te rendre compte du mal que ça fait d'entendre qu'il vaudrait mieux que je ne t’appelle pas, tu peux pas non plus savoir à quel point c'est dur d'entendre que tu rentres mais que tu peux pas me voir ne serait-ce qu'une seconde…une minute…Merci aussi pour les nuits passées à 1000 mètres de l'autre coté du pieu, soi disant que ça ne va pas. Tu me fais un mal de chien, alors que je n’ai rien demandé, merde, juste à être heureux avec toi. Avec tes humeurs, mes sentiments baissent. Je commence à croire malgré tout que tu me prends pour un con, et que tu essaies de jouer au maximum avec mes sentiments. D'accord, je comprends ton stress, d’ailleurs je ne bronche pas, au téléphone, je suis cool et compréhensif parce que je me dis que c'est passager, mais chaque jour ton visage s'estompe un peu plus, et ça me fout le moral à zéro, tu me tues. Bref. Ça fait du bien. (rupture)Ne serait-ce qu'une secondeTexte
- Correspondances ❘ Maylis à l'adolescente qu'elle était ❘ 17/39Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à Garance et Samantha ❘ 23/39Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à Guillaume et Mohamed ❘ 36/39Vidéo
- Une vie plan BTexte
- Si j'écris ce texte, cette histoire, c'est parce que j'aurais aimé que quelqu'un aussi s'arrête et me voie. Parce qu'il faudrait que les gens prennent plus de temps à regarder et à lever la tête. Si j'écris, c'est par besoin. Écrire, c'est une souffrance. C'est loin d'être facile. Parce qu'il y a des mots qui me font vibrer, frissonner. Parce que les mots ont un pouvoir. Une force. Des paroles. Des mots qui nous effleurent. Le néant. Le silence. L'infini. Le désir. L'absolu. Le néant, le silence, l'infini, le désirTexte
- La perle rare. La rose manquante dans le bouquet de coquelicots qui constitue ma petite vie… Le diamant manquant dans le bracelet des personnes qui m'entourent Le sourire caché de toutes ces larmes versées en t'attendant Pourquoi ne te montres-tu pas ? Peut-être es-tu là. Et je te tourne le dos. Il suffirait que je me retourne pour te prendre dans mes bras. Ou alors je refuse de te voir. Pourquoi ? Je ne sais pas. Peut-être ai-je peur de toi ? Je ne sais pas. Je suis déjà fatiguée de chercher. Je me sens si seule. Je ne demande pourtant pas grand chose, du charme, de l'humour, un poil de jalousie, de l'attention, de l'amour. Peut-être m'attends-tu toi aussi. Peut-être nous cherchons-nous sans nous voir, qui sait ? Personne justement. Bah même moi. Enfin. Je n'ai que 14 ans ! Non ! J'ai déjà 14 ans ! J'attends, j'attends. Dans un coin. Mais putain ! lève-toi et trouve-le s'il ne vient pas ! Tu as trop attendu vas le chercher ! C'est à ton tour. Trouve le et vole la clé de son cœur et surtout garde là. Elle sera tellement précieuse. Ne l'égare pas surtout, sache la garder, la préserver, il saura faire de même. Prends confiance en toi et fonce, ne le laisse pas te filer entre les doigts. Un diamant pareil n'est pas à négliger. Car ce sera un diamant, une magnifique rose si c'est celui que tu auras choisi. Car le simple fait que ce soit ton cœur qui le choisisse fera de lui le plus beau des trésors, oui le plus beau des trésors. Ma perle rare. La perle rareTexte
- Correspondances ❘ Cettina à Amel ❘ 15/39Vidéo
- Bonjour, Nous sommes les élèves de troisième du collège Joliot Curie à Tucquegnieux. On travaille avec la compagnie La Bande Passante sur le projet qui s'appelle "Il était une fois dans l'Est". Et on voudrait savoir : c'était quoi avoir quatorze ans ici ? 0:20 B Trio Inès. 0:21 J'ai interviewé Frédéric Gras. 0:24 Comment avez-vous vécu votre adolescence? 0:26 C'est une période un peu difficile, une période transitoire, tu sais, entre entre l'enfance et l'âge adulte. 0:35 C'est pas la plus belle période de ma vie, Je crois que je me chercher. 0:39 Puis je pense que j'étais introvertie. 0:42 Du coup, vous sentez-vous bien dans votre peau. 0:44 Alors non, je ne me sentais pas très bien dans ma peau. 0:47 Mais j'ai essayé de le cacher, j'étais suffisant. 0:51 Euh je prenais les gens de haut, aviez-vous de bonnes relations avec vos parents. 0:57 alors ma mère était très protectrice et elle ne supportait pas le fait que ce que je me détache d'elle. 1:04 même à l'adolescence. 1:06 Et mon père, mon père e je ne connaissais pas, je ne connaissais pas bien, il était toujours absent. 1:13 J'ai un papa qui travaille par poste. 1:16 il était mineur quand il travaille de nuit, je le voyais un peu en soirée avant de partir quand il travaillait du matin. 1:24 Euh, je ne voyais pas du tout. 1:26 Enfin, c'était particulier. 1:31 j'étais solitaire. 1:35 En fait, j'étais seul parce que mon meilleur ami, il est décédé. 1:39 Il est mort à douze ans et je pense que que ça m'a affectée. 1:45 J'avais des copains en classe, mais euh, c'était pas le même lien avec E avec petits gens. 1:54 Donc le le le copain que j'avais perdu. 1:57 En plus, ils habitaient pas le même endroit puisque au collège, tu sais, on vient de plusieurs horizons, plusieurs villages moi je. 2:04 Moi, je viens d'un milieu populaire, le peuple, un milieu, qu'il n'y a pas trop de de, de, de culture. 2:11 Enfin si, il y a une culture mais pas trop de connaissances. 2:15 Comme j'étais déjà un peu seul, un peu isolé e j'étais pas. 2:18 J'étais pas épaulé non plus. 2:20 Je ne savais pas où j'allais. 2:21 Donc enfin, pour moi, c'était difficile de me projeter. 2:23 Voilà.Il était une fois dans l'Est ❘ Petit Jean ❘ 30/30Audio
- 14 ans en Barétous 1 ❘ Jean-ClaudeVidéo
- Correspondances ❘ Maylis à Jackie ❘ 19/39Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à son amour d'adolescente ❘ 24/39Vidéo