Rechercher dans tous les témoignages
253 témoignages en ligne
115 résultats
- Entre #11: le clash(0)Vidéo
- 14 ans en Barétous 1 ❘ Jean-Claude(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Claire et Leila à Nathalie ❘ 37/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Guillaume et Mohamed à Nathalie ❘ 35/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Claire, Leila, Guillaume et Mohamed à Nathalie ❘ 39/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Guillaume et Mohamed à Nathalie ❘ 33/39(0)Vidéo
- Tu es là-bas, à l'horizon, tu m'attends tu me dis de te rejoindre. J'aimerai, je marcherai sans arrêter sans sentir les coraux sur mes pieds, le sel qui me pique, l'eau qui me colle. J'avancerai. Je ne sentirai pas mes yeux qui brûlent, mes poumons remplis d'eau, j'avancerai les pieds dans le sable. Je découvrirai ce monde sous-marin, les yeux toujours rivés sur toi. Je te rejoindrai.Tu es là bas, à l'horizon(0)Texte
- Je suis là, dans mon lit à écouter la musique de Titanic. Je pense. Je me souviens. Dans les champs avec lui, dans le lac avec elle, et moi qui me prenait pour Brigitte Bardot, dans le camping, les lavabos et les crapauds. Le bar et le pont (pour se suicider). La fête est ma première vraie nuit blanche, le champ de maïs, la nuit, le petit chemin, la soupe à 7h du matin. Les nuits à la belle étoile. Les nuits à la belle étoile(0)Texte
- Il était une fois dans l'Est ❘ Se Baigner dans la Cuisine ❘ 7/30(0)Audio
- La perle rare. La rose manquante dans le bouquet de coquelicots qui constitue ma petite vie… Le diamant manquant dans le bracelet des personnes qui m'entourent Le sourire caché de toutes ces larmes versées en t'attendant Pourquoi ne te montres-tu pas ? Peut-être es-tu là. Et je te tourne le dos. Il suffirait que je me retourne pour te prendre dans mes bras. Ou alors je refuse de te voir. Pourquoi ? Je ne sais pas. Peut-être ai-je peur de toi ? Je ne sais pas. Je suis déjà fatiguée de chercher. Je me sens si seule. Je ne demande pourtant pas grand chose, du charme, de l'humour, un poil de jalousie, de l'attention, de l'amour. Peut-être m'attends-tu toi aussi. Peut-être nous cherchons-nous sans nous voir, qui sait ? Personne justement. Bah même moi. Enfin. Je n'ai que 14 ans ! Non ! J'ai déjà 14 ans ! J'attends, j'attends. Dans un coin. Mais putain ! lève-toi et trouve-le s'il ne vient pas ! Tu as trop attendu vas le chercher ! C'est à ton tour. Trouve le et vole la clé de son cœur et surtout garde là. Elle sera tellement précieuse. Ne l'égare pas surtout, sache la garder, la préserver, il saura faire de même. Prends confiance en toi et fonce, ne le laisse pas te filer entre les doigts. Un diamant pareil n'est pas à négliger. Car ce sera un diamant, une magnifique rose si c'est celui que tu auras choisi. Car le simple fait que ce soit ton cœur qui le choisisse fera de lui le plus beau des trésors, oui le plus beau des trésors. Ma perle rare. La perle rare(0)Texte
- Un nouveau langage(0)Audio
- Chaque larme a une couleur(0)Image
- Correspondances ❘ Nathalie à Guillaume et Mohamed ❘ 36/39(0)Vidéo
- Larmes en ce moment de grande tristesse, d'immense douleur. J'éprouve plutôt de la haine et de la rage. Pourquoi la vie est-elle ainsi faite pour manquer d'amour certains jours ? Pourquoi l'amour est-il ainsi fait pour pleurer ce que l'on désire ? Pourquoi l'amour est-il ainsi fait pour enlever un jour ou l'autre ce que l'on a de plus cher au monde ? Larmes de manque(0)Texte
- Entre #5 : La violence des enfants(0)Vidéo
- Entre #26 : La fin des cours(0)Vidéo
- Il continue. Il décrit l’impossibilité de parler avec sa propre famille à cause de sa transformation et de son éloignement. Il raconte comment à vingt ans il est parti à Paris, la capitale, la grande ville où tout semblait possible, pour étudier la philosophie, et pour vivre plus librement qu’à Reims, sa ville natale. Il dit qu’à Paris il a commencé à écrire des livres, à s’inventer comme un intellectuel. Mon cœur se réveillait dans ma poitrine. Tout changeait autour de moi. Maintenant je comprenais ce que j’avais ressenti dès ses premières phrases : Pourquoi est-ce que je n’avais jamais fait comme lui ? Pourquoi est-ce que je n’étais pas comme lui ? Pourquoi est-ce que moi je n’étais jamais parti à Paris – comme lui ? Pourquoi est-ce que j’avais limité à ce point mon arrachement au passé ? Ses paroles propulsaient mon corps loin de la salle où j’étais assis et tout à coup j’étais loin des autres, loin d’Elena aussi, pour la première fois j’étais loin d’elle. Je l’écoutais, il parlait, je l’écoutais et je pensais soudain, je voudrais être comme lui, je voudrais être lui – pourquoi est-ce que je n’avais pas fui aussi loin ? Je ne savais plus ce que je ressentais, je l’enviais, il me fascinait et la seconde d’après mes sentiments se muaient en un mélange de jalousie et de colère, pourquoi est-ce qu’il a réussi alors que moi je suis là, bloqué dans cette petite ville de province, et que je n’ai presque jamais rien lu, que je n’ai rien écrit à part quelques scènes de théâtre minables sans aucune valeur plagiées sur ce qu’Elena écrit, pourquoi lui et pas moi – je voulais ne plus l’écouter, je voulais qu’il se taise, faites-le taire, pitié – je lui en voulais d’avoir ce que je n’avais pas, et puis mes émotions s’inversaient encore, elles s’inversaient et je pensais que je n’avais jamais admiré quelqu’un avec autant de force ; je me suis tourné vers Elena et j’ai vu son corps s’éloigner de moi. Je ne pouvais plus la toucher, je voulais l’appeler mais elle n’entendait pas. Quand le philosophe a terminé sa conférence – il s’appelait Didier Eribon, je ne le savais pas encoreJe voulais être comme lui(0)Texte
- Cette nuit j'ai rêvé de la fin du monde. Si c'est vrai, je m'en moque un peu, pourvu qu'on meurt tous en même temps. Je suis impatiente. Il y en a qui disent que Paris va être détruit. Donc, (au cas où), adieu. Il y a plein de choses que j'aurais voulu faire avant de mourir. La fin du monde(0)Texte
- Au ciné, je suis allée avec un mauvais pressentiment. Je baisse la culotte et vlan ! C'est reparti pour un tour ! J'ai de nouveau mes règles. Je n'avais pas de serviette. J'ai fourré mon slip de PQ. Ça grattait. J'ai mis 1h pour trouver une position confortable devant l'écran. Le sang avait déjà traversé. Mais avec l'épaisseur que j'avais mise, j'aurais pu tenir tout le long de Titanic. Je baisse la culotte et vlan !(0)Texte
- Je me sens «dans » la liberté(0)Texte