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253 témoignages en ligne
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- Le Monde à l'Intérieur ❘ Je crois que j'ai oublié ❘ 06/19(0)Audio
- Entre #8 : En quoi croire ?(0)Vidéo
- Je crois que je n'arrive pas à dire non à un mec. Si un garçon m'aime, alors je tombe amoureuse de lui ! Ou bien je confonds amitié et amour. L'idéal serait que je sorte avec lui sans que cela se sache (sans que PERSONNE ne le sache) Je confonds amitié et amour(0)Multimédia
- Prince de Lu(0)Audio
- Correspondances ❘ Nathalie à Guillaume et Mohamed ❘ 36/39(0)Vidéo
- Et, assis sur les ruines de la vieille muraille, je penserais à toi. Tu sais, en fait j'aimerais bien retourner un peu au collège, pas pour travailler, mais pour pouvoir te revoir, toi et les autres. Les grandes vacances sont trop longues, peut-être : mais heureusement que les lettres nous rapprochent les uns des autres. Mais moi, personnellement, je n'aime pas vraiment les sentiments par lettre interposées. Les lettres se conservent mieux que les paroles. Pourtant, une parole, une phrase, fait je crois beaucoup plus d'effet dans notre esprit qu'une écriture. Mais, en même temps, l'écriture est un moyen indirect de dire des choses que l'on ose pas dire oralement, et ça facilite les choses pour les timides. Maintenant, la nuit est tombée, et la bougie qui m'éclaire commence à faiblir. Des étoiles s'alignent dans ma tête. Et c'est par l'écriture que je vais t'embrasser au clair de lune. Allez, chut ! Je dors… Bonne nuit. Tu me manques.Des sentiments par lettres interposées(0)Texte
- Correspondances ❘ Sylvie à l'adolescente qu'elle était ❘ 21/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à Claire et Leila ❘ 38/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Noah à Michelle ❘ 02/39(0)Vidéo
- Merde alors. Je t'aimais. Je ne voulais pas que tu crois que je voulais juste faire des expériences avec toi. Quand on a 16 ans, tout ça impressionne, tout ça laisse des traces. C'est le premier printemps que l'on vit vraiment comme un printemps. Sa sensualité, et en même temps le dernier, en comparaison, tous les autres printemps seront plus pâles. Et si on est amoureux, là, il ne reste qu'à supporter, toute la joie, toute la beauté qu'il y a en toute chose. Le monde à l'extérieur, le monde à l'intérieur de moi. Cela se passa dans une soirée Là où ils se sont rencontrés Ils se sont regardés Ils se sont appréciés Lui, il est poilu Elle n'était pas toute nue Fumer des spliffs Lui il la kiff Ils sont tombés amoureux Ah c'est joyeux Je t'aimais Le monde à l'extérieur. Le monde à l'intérieur de moi. Le monde à l'extérieur(0)Audio
- Depuis que je suis au collège je fais une sorte de déprime. C'est comme si tout ce qui se passe n'était qu'un rêve. C'est comme si tout autour de moi ce n'était que le second plan. Comme si j'étais seule au monde. J'ai tout le temps envie de pleurer. Peut-être à cause de l'école primaire qui me manque. Je suis vraiment grave ! Je n'arrive pas à m'habituer au collège. Je ne sais pas sous quel angle le voir… Et je trouve que le temps passe extrêmement vite. J'arrive pas à me rendre compte qu'on est déjà à la fin de l'année. Je n'arrive pas à penser au passé ou au futur. Tout s'embrouille dans ma tête. Au début je pensais que c'était normal à mon âge (zéro crise d'adolescence) et aussi, j'ai l'impression d'être gogole : je ne comprends rien à la vie, à ce que les gens disent. Et je pensais que de nombreuses personnes sont comme moi mais personne ne me comprend. Il y a même eu des périodes où je voulais aller voir un psy. Le fait que j'aille déjà en cinquième me fait peur. Et je suis même pas à l'aise dans mon collège. J'ai besoin de me confier mais, à qui ? J'éprouve une sorte de grand vide en moi-même. C'est comme si j'attendais que quelque chose se passe mais rien. Rien que ce vide insupportable. Tout s'embrouille dans ma tête et je ne sais pas jusqu'à quand je vais supporter ce vide. J'éprouve un sentiment de confusion lourd et insupportable. Je ne sais plus quoi faire ni penser. Mais vraiment il y a des fois où je crois rêver. Plus rien est n’est impossible à présent. Je ne sais vraiment pas ce qui m'arrive et j'espère que je vais vite remonter de ce grand trou infini… J'ai l'impression d'être tellement différente par rapport aux autres gens… Il faut vraiment qu'on me tende une échelle pour que je remonte ce foutu trou qui me donne le moral à zéro, je ne sais pas pourquoi... Le collège c'est vraiment comme un vide. J'arrive pas à m'y faire. Une sorte de grand vide(0)Texte
- Correspondances ❘ Gloria à Carine ❘ 31/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Bernard à Mia et Asdine ❘ 11/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à son amour d'adolescente ❘ 32/39(0)Vidéo
- Entre #9 : Se sentir libre(0)Vidéo
- Je lui ai dit que la femme de ma vie, c'était elle. Que mes enfants seraient les siens. Et puis elle a répondu qu’elle n’y croyait pas, qu'elle ne serait pas une bonne mère, comme la sienne n'en avait pas été une. Une bonne mère(0)Texte
- Le Monde à l'Intérieur ❘ Clémence ❘ 01/19(0)Audio
- Il faut que je me vide. FAIS CHIER, FAIS CHIER, FAIS CHIER. Désolé, mais c'est comme ça. D'accord, t'as ton exam (examen), tu stresses, et tu veux voir personne. Mais tu peux pas te rendre compte du mal que ça fait d'entendre qu'il vaudrait mieux que je ne t’appelle pas, tu peux pas non plus savoir à quel point c'est dur d'entendre que tu rentres mais que tu peux pas me voir ne serait-ce qu'une seconde…une minute…Merci aussi pour les nuits passées à 1000 mètres de l'autre coté du pieu, soi disant que ça ne va pas. Tu me fais un mal de chien, alors que je n’ai rien demandé, merde, juste à être heureux avec toi. Avec tes humeurs, mes sentiments baissent. Je commence à croire malgré tout que tu me prends pour un con, et que tu essaies de jouer au maximum avec mes sentiments. D'accord, je comprends ton stress, d’ailleurs je ne bronche pas, au téléphone, je suis cool et compréhensif parce que je me dis que c'est passager, mais chaque jour ton visage s'estompe un peu plus, et ça me fout le moral à zéro, tu me tues. Bref. Ça fait du bien. (rupture)Ne serait-ce qu'une seconde(0)Texte
- J'ai du mal à l'admettre, mais demain bahut. Les boules. Je sens que je vais le croiser ! Je parle de V. Je l'aime pas, là. Pressé, nerveux, te fais sans arrêt chier, nous traite comme de la merde en classe. Avec sa face de con, il commence à emmerder tout le monde, en premier toutes les secondes (filles comprises). Puis les premières et terminales.Demain bahut : les boules(0)Texte
- Les beaux-endroits c’est pour ailleurs(0)Texte