Rechercher dans tous les témoignages
253 témoignages en ligne
44 résultats
- Il était une fois dans l'Est ❘ Devenir ❘ 22/30(0)Audio
- J'en ai trop marre. Je sais plus du tout où j'en suis je me pose trop de questions. J'ai l'impression que ce ne cela n'arrive qu'à moi de ressentir ça… J'espère que c'est l'adolescence et que cela ne va pas durer. Ce qu'il faudrait que je fasse, c'est essayer tout de suite de redevenir comme avant.Redevenir comme avant(0)Texte
- Moi en 2030(0)Vidéo
- Entre #1 : Comment savoir si vous avez quitté l'enfance(0)Vidéo
- 14 ans en Barétous 5 ❘ Clément(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Garance et Samantha à Sylvie ❘ 22/39(0)Vidéo
- A. a trop cru que j'avais dégueulé sur elle. Sur le coup ça m'a rien fait. Et puis le dimanche, j'ai presque passé toute ma journée sur Facebook et sur le mur de A., elle parlait presque que de moi, du style qu'elle vivait trop mal, qu'elle était dégoûtée de moi, que je lui avais fait trop de mal après tout ce qu'elle avait fait pour moi. Je suis désolée, une meilleure amie, ça ne dit pas ça à sa meilleure amie. C'est là que je me suis rendu compte que je lui avais fait trop de mal après tout ce qu'elle avait fait pour moi ! Pour moi, elle a beaucoup changé, elle a fait plein d'efforts, elle est devenue ce que je voulais qu'elle soit. J'ai tout fait à l'envers.J'ai tout fait à l'envers(0)Texte
- Ce soir j'ai pleuré parce que ma mère voulait qu'on aille visiter le collège Saint-Dominique. Un collège de merde. Donc on est allé à Saint-Dominique et pour faire chier ma mère et la directrice je me suis trop mal tenue. En attendant qu'elle arrive je me suis affalée sur un banc, et je lui ai lancé un regard noir quand elle est arrivée. Après j'ai marché et j'ai trop parlé comme une racaille, et quand on est arrivées dans son bureau elle m'a posé des questions, je répondais à peine, Mais bon je me suis mise à pleurer parce que je voulais pas y aller. Du coup je suis trop dégoûtée, j'étais déprimée à mort, mais d'un autre côté, c'est vrai que j'avais fait n'importe quoi cette année, je suis devenu n'importe quoi. Je me suis dit que c'était quand même une chance de venir là-bas parce que je redeviendrais bien. Mais au fond, j'ai pas envie d'y aller. Enfin je sais pas je sais plus où j'en suis, je sais plus quoi penser.Je suis devenue n'importe quoi(0)Texte
- 14 ans en Barétous 2 ❘ Léa(0)Vidéo
- Si j'ai commencé à ne plus parler c'est qu'on ne m'a pas donné la possibilité de parler. On ne m'a pas laissé cette chance au moment où il le fallait. Au moment où j'en aurais eu besoin. Ce "on" c'est ces gens. Ces gens qui vivent (et encore c'est un grand mot) dans un monde artificiel. Ce monde où je ne me suis pas sentie à l'aise. Je n'ai pas eu envie de parler si c'était pour être hypocrite, pour dire que ça va alors qu'au fond de moi tout va au plus mal. Toujours porter un masque. Chaque jour. Chaque jour jouer un jeu. Un jeu qui était devenu presque une habitude. Pourquoi continuer comme ça ? À tout calculer ? À prendre la vie pour une scène ? Toujours porter un masque(0)Texte
- Aujourd'hui, y 'avait les demi tarifs à la foire. On était plein de potes. On a dragué comme des fous dans les bagnoles tamponneuses. Dément. J'ai dragué une nénette de 17 ans. Elle a vu ma gourmette. C'est bien une des rares personne qui aime mon prénom. Je devenais fou. On a dragué comme des fous(0)Texte
- Un jour passé sans sa voix. Je deviens de plus en plus fou. Hier, j'ai pleuré comme jamais j'ai pleuré de toute ma vie. Ce matin, rebelote, en cours, puis à 10h, comme une vraie gonzesse. Enfin, ça va passer. Ce que je ne comprend pas c'est comment ça a pu passer du plus haut des sentiments au vide total de sa part. (rupture)Un jour passé sans sa voix(0)Texte
- "Nous" | par les 4eB et 3eR du Collège Anne Frank | Périgueux(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Sylvie à l'adolescente qu'elle était ❘ 21/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Michelle à l'adolescente qu'elle était ❘ 04/39(0)Vidéo
- Chez toi, c’est l’endroit où j’ai découvert qu’il y avait des fenêtres de sociabilité. Là où j’ai découvert ma propre joie. Que ma parole avait du sens. Là où les mots me sont venus. Un lieu d’autonomie. Où j’ai pu prendre le risque de rater, la crainte du reproche en moins. Chez toi j’ai découvert des chemins dans lesquelles je pouvais avoir de l’amour pour des mondes qui m’intimidaient. Un lieu en moi. Je vais chez toi en secret, je n’y vais pas forcément avec mon corps, mais par la présence d’un objet, ou d’un vêtement, ou d’un souvenir. Je n’aimerais pas que tu deviennes une simple salle vide, sans couleurs. Une salle vide c’est un simple plafond, des fenêtres, un sol qui attend d’être rempli. Une page blanche sans crayons, sans couleurs, sans intentions. Prendre le risque de rater(0)Texte
- Le Monde à l'Intérieur ❘ Des Poèmes qui Ressemblent à des Chansons ❘ 02/19(0)Audio
- Je voulais juste parler un peu de moi. Qui que soit celui qui lit ces lignes est le bienvenu. Si tu lis ces pages dans quelques jours, n'arrache pas les pages, et si tu lis dans quelques dix, vingt ans, essaye de ne pas arracher les pages restantes… Ce cahier n'est pas génial, mais je l'aime bien. J'espère qu'il aura contribué à te faire une image de moi… L'image de l'adolescent simple, un peu mal dans sa peau mais qui le cache, parce que pleurer sur sa personne, c'est ignorer un instant les autres, être un peu égoïste. Et même si cet égoïsme fait parfois du bien, sache que je le deviens plus souvent seul. Si ces pages se perdent un jour, tant pis, elles n'auront servi qu'à faire passer le temps au petit être que je suis, par contre si il se retrouve dans un grenier ou autre d'ici quelques temps, pleins de poussière, je désire qu'il soit respecté, et que l'on ne chie pas dessus si c'est possible, et si un jour quelqu'un cherche à le salir, d'une manière ou d'une autre, et bien sache que je te regarde en ce moment, de là ou je suis. Alors sois cool, repose-le, et laisse continuer et prendre la poussière. (carnet, journal intime)Si tu lis ces pages(0)Texte
- 14 ans en Barétous 7 ❘ Catherine(0)Vidéo
- Je commence enfin à me découvrir un caractère : je me fais d'ailleurs un peu peur. Mais qu'est-ce que ça fait du bien ! Je commence enfin avoir des goûts, des avis propres. J'ai envie de m'affirmer. Mais évidemment, je vais y perdre quelques personnes… Bah oui, avant tout le monde m'aimait bien, mais si je commence à avoir un caractère, forcément, il ne plaira pas à tout le monde. Je ne me dis pas non plus que je serai une autre personne. Mais il y a une petite étincelle en moi que j'alimente de jour en jour. Et elle me réchauffe. Et ça fait du bien. Mais il faut tout de même que j'apprenne à la contrôler, car ça peut vite dégénérer en incendie. Et un incendie devient vite incontrôlable. Alors je vais doucement souffler sur cette étincelle, sans y verser d'essence. Et elle grandira doucement avec moi. Un incendie devient vite incontrôlable(0)Texte