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- Et, assis sur les ruines de la vieille muraille, je penserais à toi. Tu sais, en fait j'aimerais bien retourner un peu au collège, pas pour travailler, mais pour pouvoir te revoir, toi et les autres. Les grandes vacances sont trop longues, peut-être : mais heureusement que les lettres nous rapprochent les uns des autres. Mais moi, personnellement, je n'aime pas vraiment les sentiments par lettre interposées. Les lettres se conservent mieux que les paroles. Pourtant, une parole, une phrase, fait je crois beaucoup plus d'effet dans notre esprit qu'une écriture. Mais, en même temps, l'écriture est un moyen indirect de dire des choses que l'on ose pas dire oralement, et ça facilite les choses pour les timides. Maintenant, la nuit est tombée, et la bougie qui m'éclaire commence à faiblir. Des étoiles s'alignent dans ma tête. Et c'est par l'écriture que je vais t'embrasser au clair de lune. Allez, chut ! Je dors… Bonne nuit. Tu me manques.Des sentiments par lettres interposées(0)Texte
- Entre #9 : Se sentir libre(0)Vidéo
- Si j'ai commencé à ne plus parler c'est qu'on ne m'a pas donné la possibilité de parler. On ne m'a pas laissé cette chance au moment où il le fallait. Au moment où j'en aurais eu besoin. Ce "on" c'est ces gens. Ces gens qui vivent (et encore c'est un grand mot) dans un monde artificiel. Ce monde où je ne me suis pas sentie à l'aise. Je n'ai pas eu envie de parler si c'était pour être hypocrite, pour dire que ça va alors qu'au fond de moi tout va au plus mal. Toujours porter un masque. Chaque jour. Chaque jour jouer un jeu. Un jeu qui était devenu presque une habitude. Pourquoi continuer comme ça ? À tout calculer ? À prendre la vie pour une scène ? Toujours porter un masque(0)Texte
- Il était une fois dans l'Est ❘ Au Vieux Boeuf ❘ 1/30(0)Audio
- Entre #6 : Comment s'installe la violence(0)Vidéo
- Il était une fois dans l'Est ❘ Petit Jean ❘ 30/30(0)Audio
- Il faut que je me vide. FAIS CHIER, FAIS CHIER, FAIS CHIER. Désolé, mais c'est comme ça. D'accord, t'as ton exam (examen), tu stresses, et tu veux voir personne. Mais tu peux pas te rendre compte du mal que ça fait d'entendre qu'il vaudrait mieux que je ne t’appelle pas, tu peux pas non plus savoir à quel point c'est dur d'entendre que tu rentres mais que tu peux pas me voir ne serait-ce qu'une seconde…une minute…Merci aussi pour les nuits passées à 1000 mètres de l'autre coté du pieu, soi disant que ça ne va pas. Tu me fais un mal de chien, alors que je n’ai rien demandé, merde, juste à être heureux avec toi. Avec tes humeurs, mes sentiments baissent. Je commence à croire malgré tout que tu me prends pour un con, et que tu essaies de jouer au maximum avec mes sentiments. D'accord, je comprends ton stress, d’ailleurs je ne bronche pas, au téléphone, je suis cool et compréhensif parce que je me dis que c'est passager, mais chaque jour ton visage s'estompe un peu plus, et ça me fout le moral à zéro, tu me tues. Bref. Ça fait du bien. (rupture)Ne serait-ce qu'une seconde(0)Texte
- Chaque larme a une couleur(0)Image
- Et nous avons fait l'amour, comme cela, dehors, sur ce banc. En quittant les lieux, nous étions tous deux dans un état second. Nous nous sentions si loin de tout après avoir brûlé ces interdits, et pourtant nous n'avions jamais été aussi proches du monde, heureux d'être en vie, être soi, d'être nous ! Et puis, nous évoluions dans un climat de suave lenteur, de douce volupté. Puis, alors qu'il pleuvait toujours, un rayon de soleil à jailli, et a enfanté un superbe arc-en-ciel. Je me souviendrais toujours du visage de L., absent, effacé, alors que je m'approchais de la table à laquelle elle était assise. Son état reflétait le mien à merveille. L'euphorie était immense et indicible. Je l'aime !Dans un état second(0)Texte
- Où-es-tu ?(0)Audio
- Ceci était mon journal. J'ai passé tellement de temps à écrire dessus, ça me fait bizarre de me dire qu'il ne sera plus là pour me réconforter, m'inspirer. 2 ans de vie écrite !! 2 ans de bons moments d'histoire, de tristesse, de sentiments, de nouveauté. C'est mon histoire. J'avais envie que ces pages soient infinies. 2 ans de vies écrites(0)Texte
- Un jour passé sans sa voix. Je deviens de plus en plus fou. Hier, j'ai pleuré comme jamais j'ai pleuré de toute ma vie. Ce matin, rebelote, en cours, puis à 10h, comme une vraie gonzesse. Enfin, ça va passer. Ce que je ne comprend pas c'est comment ça a pu passer du plus haut des sentiments au vide total de sa part. (rupture)Un jour passé sans sa voix(0)Texte
- Correspondances ❘ Asdine à Bernard ❘ 10/39(0)Vidéo
- Correspondances ❘ Guillaume et Mohamed à Nathalie ❘ 35/39(0)Vidéo
- Il faut que j'arrête de t'aimer ou tu me tueras. Je ne veux pas te perdre. Raté. Il faut se battre pour ses sentiments. Ou pas. à paris, tu relookeras tous les tarés Tu metteras des petits hauts et tu raccourciras le bas et moi je devrais m'effacer, je ne serai plus là Je ne veux pas tout perdre Je vole ton journal en catimini Je sais. C'est de la merde. Je sais. C'est de la merde. Comme tout ce que tu as écrit. Je suis rentrée, j'ai bouffé trop de pizza, dans mon plumard, j'ai dégueulé. Je laisse tremper les draps, pendant que je me rince la bouche. A 4h30, j'ai regerbé l'eau que j'avais bu. Tu verras ma geule. La touche. J'ai une chiasse énorme qui me sors du cul. Reviens, j'ai besoin d'un calin. Tu dis qu'il t'a construite. Tu es son petit lapin. Et moi je t'ai détruite et tu t'en fous toi. Tu te sauves. Aujourd'hui t'es belle, t'es forte, tu crânes. Je vais le buter cet enculé de chauve. Lui faire une grosse entaille au cutter sur son crâne Et tous mes souvenirs de toi au fond. N'oublie pas ce que je t'ai dis. Tu peux crever. Déja moi je t'oublie. Tu peux crever(0)Audio
- Elle m'a dit que c'était fini, je l'ai retenue, et puis elle m'a dit : « je ne veux plus t'aimer, je ne veux plus t'embrasser, je ne veux plus coucher avec toi....Je ne veux plus te voir". Je lui ai dit : « tu as gagné » en la lâchant ! Elle m'avait fait trop mal au cœur. Je lui ai tendu sa broche en lui disant de la récupérer. C'est alors qu'elle m'a dit qu'elle n'en aurait plus besoin. J'ai eu peur. Je l'ai retenue à nouveau. Et à partir de ce moment-là je n'ai pas cessé de pleurer pendant une demi-heure. Je me suis laissé aller à mes sentiments. J'étais déçu de n'avoir pu être à la hauteur de ses rêves. Je ne veux plus t'aimer(0)Texte
- Un nouveau langage(0)Audio
- 14 ans en Barétous 8 ❘ Rosie(0)Vidéo
- Le Monde à l'Intérieur ❘ Je te rejoindrai ❘ 12/19(0)Audio
- Correspondances ❘ Sylvie à Sam ❘ 26/39(0)Vidéo