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- Je pense déjà à la séparation. Et pourtant je sais que je n'ai aucune chance de trouver mieux. Mon moi salaud est ressorti, il crie « misogynie ! » Il crie « solitude ! », Il écrit « amour = conneries à deux ! ». C'est navrant j'ai tout perdu.Il crie solitude Texte
- Après qu'elle m'a dit qu'elle avait aimé L. comme son premier amour, qu'elle avait été tout du long malheureuse d'amour, et que tout était génial avec moi, et que si je ne comprenais pas ça, il ne fallait plus que je la touche. Je commençais à mettre mes chaussettes. J'avais déjà remis mon pull dans la pénombre, alors qu'elle s'est relevée pour fumer une cigarette à la fenêtre. Mais lorsqu'elle m'a vu faire cela, et continuer, bien qu'elle m'a dit que ce n'était pas la peine de la revoir, je l'ai vu sortir plusieurs boîtes de cachets, je croyais qu'elle avait une migraine. Mais lorsque j'ai vu la dizaine de pilules dans sa main, j'ai compris. Elle a commencé à prendre de l'eau, et à faire mine de les avaler. J'avais remarqué qu'elles étaient dans sa main, mais j'ai fait comme si je n'avais rien vu, de peur de la voir le faire pour de vrai, histoire de me prouver qu'elle en était capable. Plusieurs boîtes de cachetsTexte
- Elle m'a dit que c'était fini, je l'ai retenue, et puis elle m'a dit : « je ne veux plus t'aimer, je ne veux plus t'embrasser, je ne veux plus coucher avec toi....Je ne veux plus te voir". Je lui ai dit : « tu as gagné » en la lâchant ! Elle m'avait fait trop mal au cœur. Je lui ai tendu sa broche en lui disant de la récupérer. C'est alors qu'elle m'a dit qu'elle n'en aurait plus besoin. J'ai eu peur. Je l'ai retenue à nouveau. Et à partir de ce moment-là je n'ai pas cessé de pleurer pendant une demi-heure. Je me suis laissé aller à mes sentiments. J'étais déçu de n'avoir pu être à la hauteur de ses rêves. Je ne veux plus t'aimerTexte
- Je jalouse ses souvenirs, je voudrais lui en faire autant, qu'elle sache, et par la même, je suis ingrat. Elle l'aimait, ils ont fait l'amour dès le troisième jour, et je les déteste tous les deux. Je voudrais être seul et ne plus y penser. Pourquoi en sais-je autant. J'aimerais ne rien savoir.Je jalouse ses souvenirsTexte
- Et nous avons fait l'amour, comme cela, dehors, sur ce banc. En quittant les lieux, nous étions tous deux dans un état second. Nous nous sentions si loin de tout après avoir brûlé ces interdits, et pourtant nous n'avions jamais été aussi proches du monde, heureux d'être en vie, être soi, d'être nous ! Et puis, nous évoluions dans un climat de suave lenteur, de douce volupté. Puis, alors qu'il pleuvait toujours, un rayon de soleil à jailli, et a enfanté un superbe arc-en-ciel. Je me souviendrais toujours du visage de L., absent, effacé, alors que je m'approchais de la table à laquelle elle était assise. Son état reflétait le mien à merveille. L'euphorie était immense et indicible. Je l'aime !Dans un état secondTexte
- Elle m'a dit qu'elle trouvait que faire l'amour avait pris trop d'importance pour nous. Cela m'a fait mal au cœur, parce que bien que je partage son idée, cela fait toujours mal de se faire dire les choses que l'on voudrait être le premier à prononcer. C'est un problème d'amour-propre. Un Problème d'amour-propreTexte
- Il faut que je me reprenne, que je bosse un peu, il faut que je sois à la hauteur de mes espérances. Rien ne m’empêche d’espérer, j’ai les moyens de réussir sans travailler beaucoup, mais j’ai surtout de quoi exceller en travaillant un peu. Je m’y mets. Il faut que je sois à la hauteurTexte
- Je lui ai dit que la femme de ma vie, c'était elle. Que mes enfants seraient les siens. Et puis elle a répondu qu’elle n’y croyait pas, qu'elle ne serait pas une bonne mère, comme la sienne n'en avait pas été une. Une bonne mèreTexte
- Elle a fini par mettre ses affaires dans un sac et à faire mine de partir. Elle m’a dit : dans 45 ans tu n'entendras plus parler de moi. Elle m'a tendu un carnet et m'a dit tiens tu liras ça. Je l'ai retenue et elle est restée. Elle a fait à manger. Nous avons attendu sa mère au salon. Je lui ai demandé d'éteindre la lumière, et j'en ai profité pour pleurer. Elle ne s'en est pas rendue compte. Et puis sa mère est arrivée.Je l'ai retenue et elle est restéeTexte
- Deux ballons et du scotchImage
- Bonjour, Nous sommes les élèves de troisième du collège Joliot Curie à Tucquegnieux. On travaille avec la compagnie La Bande Passante sur le projet qui s'appelle "Il était une fois dans l'Est". Et on voudrait savoir : c'était quoi avoir quatorze ans ici ? Comment vous appelez vous ? 0:21 Je m'appelle Madame Jocelyne où avez-vous passé votre adolescence? 0:25 J'ai toujours été ici parce que je suis fait unique et que je travaille avec ma maman. 0:30 Je l'aide ici, dans cette école des mineurs. 0:34 Alors il y avait les Italiens, beaucoup et les Polonais et jouer aux cartes. 0:37 c'était agréable. 0:39 S'était alors des fois ça créé parce que mal joué, où il jouait surtout la Copa. 0:45 Et puis à la mort, vous savez ce que c'est la mort, c'est quand on ils sont. 0:49 Ils étaient à quatre. 0:49 Allez jouer debout, puis tapez puis avec les doigts, vous disiez un nombre et chacun joué. 0:56 alors ça commençait toujours doucement, doucement, puis après ça venait. 1:02 mais c'était bien Quelle était votre relation avec votre famille? 1:09 J'ai une maman très courageuse. 1:11 Elle a été veuve trente-huit ans avec le bowling, le bistrot et vous savez savoir se faire respecter en étant une femme seule et savoir être plaisant. 1:24 En même temps, c'est tout un art croyez-moi et chez moi, ça a toujours marché à la baguette. 1:31 pouvez-vous nous raconter un événement qui a marqué votre adolescence. 1:34 Moi, quand j'ai fait ma communion, j'ai un transistor et j'étais content avec le transistor. 1:40 Mettez de la musique, après j'ai grandi. 1:42 Et puis dans les copines venaient parce que il y avait une ambiance. 1:46 Et sur ce transitoire que vous aviez vous écoutiez quoi du rock? 1:51 alors les chaussettes noires, écrivez tout ça et Mitchell Johnny puis après quand il y a eu moins de mineurs. 1:58 Mais moi j'ai toujours eu des jeunes jeunesse qui étaient issus de ce fils de mineur. 2:03 C'était sympathique c tout de même.Il était une fois dans l'Est ❘ Chez Barbieri ❘ 17/30Audio
- Entre #9 : Se sentir libreVidéo
- Elle est pas pour toi m'a dit Clémence Mais quand je te vois je tombe en transe Quand je te regarde dans les yeux je sais que c'est toi que je veux Je t'aime. Mais je ne peux pas je ne veux pas il ne faut pas Pourtant je te croise tous les jours Et ca fait mal Mais quelle connerie l'amour Je me sens sale Quand rencontrerai-je sur l'âme sœur ? Cela fait trop longtemps que je l'attends Quand tu trouverais-je mon cœur ? Tu es là je le sens Je voudrais partir loin et oublier tout ça mais la réalité est là : je t'aime ! Je voudrais partir loinAudio
- Cet après-midi, je suis allée au cimetière, et j'ai beaucoup réfléchi : je voudrais être enterrée dans une tombe en vieilles pierres avec beaucoup de fleurs. Je voudrais qu'il y ait du lierre/ Quand même quand on n'y pense, les morts doivent être bien tranquilles au paradis, ou je ne sais où. La mort c'est «l'avenir» de tous. La mort c'est l'avenir de tousTexte
- Correspondances ❘ Guillaume et Mohamed à Nathalie ❘ 35/39Vidéo
- Correspondances ❘ Nathalie à Guillaume et Mohamed ❘ 36/39Vidéo
- Bonjour, Nous sommes les élèves de troisième du collège Joliot Curie à Tucquegnieux. On travaille avec la compagnie La Bande Passante sur le projet qui s'appelle "Il était une fois dans l'Est". Et on voudrait savoir : c'était quoi avoir quatorze ans ici ? 0:21 Je m'appelle Riche et Jean-luc. 0:22 Quel âge avez-vous? 0:23 J'ai soixante-six ans quand se situe votre adolescence. 0:27 Mon adolescence se situe dans les années soixante-dix. 0:31 Qu'est ce que vous faisiez pendant votre temps? 0:33 Libre comme étant libre? 0:35 Avec mes amis, on aimait bien se balader dans les bois, on allait au bord des rivières. 0:43 foot, on pêchait, construisait des cabanes, on faisait des feux à l'intérieur, on y mettait des patates pour les manger. 0:54 on mangeait même les poissons qu'on venait de pêcher. 0:58 Après on joue et on faisait tournoi de foot. 1:01 Des choses comme ça, quoi. 1:06 Qu'est ce qui a changé avant et après votre adolescence? 1:10 L'adolescence, c'est surtout l'insouciance. 1:12 On ne se pose pas de questions, on est tranquille dans sa tête, il n'y a rien qui nous gêne. 1:18 On prend tout au premier degré, prend tout à la rigolade. 1:23 Ensuite, quand on passe à la vie d'adulte, c'est complètement différent. 1:27 A précédé souci, la formation professionnelle. 1:30 Il faut faut bosser, il faut e c'est totalement différent, quoi. 1:34 C'est plus plus sec, plus rigide, quoi. 1:37 À l'époque, quelle était votre matière préférée? 1:40 Matière préférée, c'était J'adore et tout ce qui était E. 1:46 physique, les eaux e système nerveux, tout ce qui était e le corps humain quoi Je voulais être médecin. 1:56 mais la vie a fait que E ma famille ne pouvait pas me payer des études de médecine, donc j'ai vite abandonné quoi. 2:05 le métier. 2:05 En réalité, e c'était, je ne savais pas quoi faire en réalité, parce que quand on parle à un moment de l'orientation, c'est pas quoi faire. 2:12 Et puis je me suis ce que je vais faire. 2:14 Je vais faire le même métier que mon père. 2:16 Mon père a fait des études supérieures en électricité. 2:19 Moi j'ai j'ai démarré à la base pour être électricien, quoi. 2:26 avec vos amis. 2:27 Qu'est ce que vous avez préféré faire pendant votre adolescence? 2:31 Écoute vers l'âge de quinze ans e avec mes amis des amis qui avaient une voiture parce que le problème c'était ça, on est bien euh faire tous les festivals rock de la région Euh on allait voir tous les groupes connus quoi ils seront donnés en citer une paire. 2:48 les Rolling Stones. 2:49 Qui c'est qui avait encore tourneur Charles Carlos Santana, James Bond. 2:56 On allait voir du rock ou ou d'autres. 2:59 On allait également voir divers artistes français quoi Johnny Sardou, Julien Clerc, François E et j'en passe? 3:09 Est ce que vous avez des conseils à partager? 3:12 des conseils à partager pour pour un ado, c'est d'aller là où il a envie, quoi faire des choses qui sont intéressantes pour lui, qui lui plaisent maintenant? 3:23 Voilà, faut pas. 3:25 Il faut se laisser porter par la livre tant qu'on peut bouger. 3:27 Parce qu'après une fois qu'on est adulte tout se passe différemment, quoi. 3:32 Merci d'avoir répondu à mes questions. 3:34 AvoirIl était une fois dans l'Est ❘ Les Explorateurs ❘ 25/30Audio
- Bonjour, Nous sommes les élèves de troisième du collège Joliot Curie à Tucquegnieux. On travaille avec la compagnie La Bande Passante sur le projet qui s'appelle "Il était une fois dans l'Est". Et on voudrait savoir : c'était quoi avoir quatorze ans ici ? 0:20 B Trio Inès. 0:21 J'ai interviewé Frédéric Gras. 0:24 Comment avez-vous vécu votre adolescence? 0:26 C'est une période un peu difficile, une période transitoire, tu sais, entre entre l'enfance et l'âge adulte. 0:35 C'est pas la plus belle période de ma vie, Je crois que je me chercher. 0:39 Puis je pense que j'étais introvertie. 0:42 Du coup, vous sentez-vous bien dans votre peau. 0:44 Alors non, je ne me sentais pas très bien dans ma peau. 0:47 Mais j'ai essayé de le cacher, j'étais suffisant. 0:51 Euh je prenais les gens de haut, aviez-vous de bonnes relations avec vos parents. 0:57 alors ma mère était très protectrice et elle ne supportait pas le fait que ce que je me détache d'elle. 1:04 même à l'adolescence. 1:06 Et mon père, mon père e je ne connaissais pas, je ne connaissais pas bien, il était toujours absent. 1:13 J'ai un papa qui travaille par poste. 1:16 il était mineur quand il travaille de nuit, je le voyais un peu en soirée avant de partir quand il travaillait du matin. 1:24 Euh, je ne voyais pas du tout. 1:26 Enfin, c'était particulier. 1:31 j'étais solitaire. 1:35 En fait, j'étais seul parce que mon meilleur ami, il est décédé. 1:39 Il est mort à douze ans et je pense que que ça m'a affectée. 1:45 J'avais des copains en classe, mais euh, c'était pas le même lien avec E avec petits gens. 1:54 Donc le le le copain que j'avais perdu. 1:57 En plus, ils habitaient pas le même endroit puisque au collège, tu sais, on vient de plusieurs horizons, plusieurs villages moi je. 2:04 Moi, je viens d'un milieu populaire, le peuple, un milieu, qu'il n'y a pas trop de de, de, de culture. 2:11 Enfin si, il y a une culture mais pas trop de connaissances. 2:15 Comme j'étais déjà un peu seul, un peu isolé e j'étais pas. 2:18 J'étais pas épaulé non plus. 2:20 Je ne savais pas où j'allais. 2:21 Donc enfin, pour moi, c'était difficile de me projeter. 2:23 Voilà.Il était une fois dans l'Est ❘ Petit Jean ❘ 30/30Audio
- Entre #16: Voir son corps changerVidéo
- Bonjour, Nous sommes les élèves de troisième du collège Joliot Curie à Tucquegnieux. On travaille avec la compagnie La Bande Passante sur le projet qui s'appelle "Il était une fois dans l'Est". Et on voudrait savoir : c'était quoi avoir quatorze ans ici ? 0:20 moi, je m'appelle Céline. 0:22 A quelle période avez-vous était adolescente? 0:25 Alors nous? 0:25 C'était l'époque des années quatre-vingt dix e deux mille. 0:29 C'était l'époque des e Il y a eu les girls band aussi. 0:35 J'ai grandi dans une famille italienne, donc ma maman écoutait beaucoup d'Italiens, de chanteur italien. 0:43 est ce que vous écoutez beaucoup de musique? 0:44 Je ne pouvais pas vivre sans musique. 0:47 Je me réveillais avec la musique, je m'endormais avec la musique, je faisais mes devoirs avec la musique. 0:51 Vous avez beaucoup d'amis comme j'étais e plutôt différent des autres enfants, e avec un côté tête dans la lune et puis un caractère plutôt bien trempé. 1:01 Ça passait pas très, très très, très bien. 1:04 Et euh, je sais que de du primaire jusque e facilement au collège. 1:11 A l'époque, on n'utilisait pas le mot, mais moi j'ai été victime de harcèlement scolaire. 1:17 aux primaires, on m'a donné le le surnom de cochon, cochon ou tire-bouchon. 1:25 Pourquoi ce surnom? 1:27 Il m'a été donné e par ma petite cousine et e donc du coup, elle a été euh sortir e à mes camarades de classe que chez moi. 1:38 On était pauvre, que on ne savait pas tous les jours, parce qu'il fallait économiser l'eau et que e ma mère me affublé d'un petit surnom de petit cochon. 1:48 avec les amis que vous aviez vous n'ont jamais été quand vous étiez victime de harcèlement au collège, j'ai eu e une amie d'enfance qui m'a alors qui a pris ma défense en sixième parce que les e, les camarades de CM deux m'ont suivi sixième. 2:06 et je me suis retrouvé avec mon ami d'enfance qui venait d'une autre école primaire. 2:11 Et quand elle a vu que je me faisais encore embêter, elle est arrivée entre guillemets, avec ses gros bras et en disant ou aux garçons qui m'embêtait e je pas, c'est ma copine, ce Du coup j'étais tranquille jusqu'en quatrième. 2:31 Quatrième, je me retrouve avec la même copine et deux autres garçons de la classe qui étaient des cancres au fini et e qui adorait faire le bazar plus qu'autre chose. 2:43 et surtout se moquer. 2:46 Pourquoi elle a fait sa certainement pour se faire bien voir des e des deux autres zigotos et e elle aura dix bassine en fait Euh quand elle était au primaire on lui avait on l'avait surnommé cochons et c'était reparti pendant deux ans.Il était une fois dans l'Est ❘ Différente ❘ 27/30Audio