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- Au ciné, je suis allée avec un mauvais pressentiment. Je baisse la culotte et vlan ! C'est reparti pour un tour ! J'ai de nouveau mes règles. Je n'avais pas de serviette. J'ai fourré mon slip de PQ. Ça grattait. J'ai mis 1h pour trouver une position confortable devant l'écran. Le sang avait déjà traversé. Mais avec l'épaisseur que j'avais mise, j'aurais pu tenir tout le long de Titanic. Je baisse la culotte et vlan !(0)Texte
- Entre #22 : Les mots des autres(0)Vidéo
- Il faut que je me vide. FAIS CHIER, FAIS CHIER, FAIS CHIER. Désolé, mais c'est comme ça. D'accord, t'as ton exam (examen), tu stresses, et tu veux voir personne. Mais tu peux pas te rendre compte du mal que ça fait d'entendre qu'il vaudrait mieux que je ne t’appelle pas, tu peux pas non plus savoir à quel point c'est dur d'entendre que tu rentres mais que tu peux pas me voir ne serait-ce qu'une seconde…une minute…Merci aussi pour les nuits passées à 1000 mètres de l'autre coté du pieu, soi disant que ça ne va pas. Tu me fais un mal de chien, alors que je n’ai rien demandé, merde, juste à être heureux avec toi. Avec tes humeurs, mes sentiments baissent. Je commence à croire malgré tout que tu me prends pour un con, et que tu essaies de jouer au maximum avec mes sentiments. D'accord, je comprends ton stress, d’ailleurs je ne bronche pas, au téléphone, je suis cool et compréhensif parce que je me dis que c'est passager, mais chaque jour ton visage s'estompe un peu plus, et ça me fout le moral à zéro, tu me tues. Bref. Ça fait du bien. (rupture)Ne serait-ce qu'une seconde(0)Texte
- Je suis en face de lui. Il ne dit rien. Je le regarde tout au fond de ses yeux. Ils sont beaux, mais ils sont vides. Vides. Ils ne disent rien. C'est triste des yeux qui nous disent rien. Ils sont fermés sur le monde. Ils ne voient rien. Ni la beauté, ni la misère. Ni le ciel, ni la terre. Rien. Il passe mais ne voit pas. Quand il marche dans la rue, il regarde en face de lui, ne croise pas un regard voisin. Il avance. Regarde à gauche à droite avant de traverser, automatiquement. Parfois il marche aussi la tête baissée, les yeux fixés sur le macadam. Maintenant, il est assis, droit. Il ne dit rien. Et ne dira rien. Plus jamais. C'est trop tard. Des yeux qui ne disent rien(0)Texte
- Correspondances ❘ Michelle à l'adolescente qu'elle était ❘ 04/39(0)Vidéo
- "Nous" | par les 4eB et 3eR du Collège Anne Frank | Périgueux(0)Vidéo